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usqu’à ce vide de l’âme inoccupée qui appelle les
tempêtes
et les révolutions. Le christianisme apporte alors un troisième monde
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, n’arrête rien de ce qu’il faudrait arrêter — la
tempête
, les épidémies, la pollution de l’air et de l’eau — mais gêne tous le
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ement les frontières. Celles-ci n’arrêtent ni les
tempêtes
, ni la pollution, ni rien de ce qu’il faudrait arrêter, mais seulemen