1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 qu’il révèle. Le style brillant et elliptique qui tend à devenir notre poncif moderne, — si propre à égarer dans d’ingénieus
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
2 lité au profit de ce « mythe cohérent » vers quoi tend notre esprit. La passion apparaît dans notre ordre social « comme une
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
3 . Mais alors quelle avidité cruelle, et peut-être tendre , à se faire souffrir rejette l’un vers l’autre ces êtres égoïstes, et
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
4 M. Vaudoyer ressuscite ces adolescences avec une tendre minutie, avec une sorte d’amoureuse application du souvenir, d’une sé
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
5 n de preuves. Il reste qu’un livre comme celui-ci tend un merveilleux piège sentimental à la raison raisonnante. Et qu’il no
6 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
6 t capable de n’importe quoi, cet air dangereux et tendre que prennent les hommes en liberté. Mais ils ne sont jamais méchants,
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 e revanche prendrait la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’après le traité de Trianon ! Ces choses, je les ai rêvées sur un di
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage des trains chaque soir nous redirai
9 andis que les danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux
10 urnoyants mais non pas désordonnés, et des gestes tendres des bras en balançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix
11 oulements et déroulements rapides, des vibrations tendues , horizontales, soutenues par un long souffle vif. J’observe que les p
12 rles. Non, non, plutôt emmener ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moin