1 s d’une plénitude joyeusement renouvelée. L’homme tendu assume dans ses desseins la nécessité et le jeu, les combinant selon

2 moins que les littérateurs dont j’ai parlé, elle tend à dévaloriser, à disqualifier humainement les créations intellectuell

3 soi-même, il nous en donne un portrait minutieux, tendre cette fois, d’un trait classique et volontaire. Je ne sais rien de pl

4 e, donne du cœur à l’intelligence. Et l’austérité tendre de son « inquisition » rend un sens à l’amour humain, disqualifié dan

5 « classe » définie par les sociologues. Son roman tendrait à prouver au contraire l’inexistence des classes dans la réalité camp

6 ermentent. Les plans s’ordonnent. Les volontés se tendent . Les chantiers s’ouvrent. Une fois de plus, la France va affirmer sa

7 de lois, et non plus une chronique des actes. On tend à ne garder de ceux-ci que ce qui peut s’organiser en belles séries,

8 ce que la vérité ? demande encore Pilate. (Il lui tend encore cette perche !) Mais l’homme ne répond plus : il est la vérité

9 esprit qu’on rétribue, en vertu d’une coutume qui tend à se préciser en loi. L’échelle des valeurs matérielles que « touchen

10 le encore un sens dans le monde d’aujourd’hui qui tend à s’établir sur de tout autres bases ? c) à quoi servent les clercs ?

11 on d’une réalité, c’est montrer à quelle fin doit tendre cette réalité, — notre culture par exemple. C’est croire à cette fin,

12 psychologie s’assure davantage de ses lois, elle tend à les substituer à l’imagination concrète du réel. Les faits se raréf

13 ans les cours de ferme, dans les cafés. À tous il tend la Parole « morte aux pages » ; mais voici que de toutes parts les si

14 is l’effort ; mais par goût de l’effort. Si Ramuz tend à rejeter tous les intermédiaires culturels, s’il critique le machini

15 me romantique48. C’est parce que toutes ces aides tendent à supprimer ce contact le plus nu et cette condition la plus humaine 

16 Car c’est à la ré-apercevoir pour un instant que tendent tous les arts, et à nulle autre chose ; à quoi tendent les notes et à

17 nt tous les arts, et à nulle autre chose ; à quoi tendent les notes et à nulle autre chose ; tous les mots qu’on écrit, les tab

18  : l’équilibre social, pour rester sain, mouvant, tendu , doit être orienté constamment par un léger excès de la composante « 

19 osante proprement antipolitique de tout équilibre tendu , mouvant, réellement progressif. Si par l’effet d’une perversion, ell

20 visages attentifs, éclairés ou butés, douloureux, tendus ou épanouis dans une compréhension amicale et directe. Je vois cette

21 ux yeux de la science d’avant Einstein… Tout ceci tendait à prouver que le problème mystique n’est nullement justiciable de « l

22 mpter, et la mission même de la Suisse. Tout cela tend à nous réduire à nos proportions matérielles, qui sont petites, qui s

23 le. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend à se réduire à l’esprit de clocher, à une limitation des horizons, bi

24 -à-dire du Démiurge auteur du monde visible. Elle tendait enfin à détruire un ordre social qui permettait et exigeait la guerre

25 dans une atmosphère où les problèmes individuels tendaient à perdre toute espèce de dignité, de légitimité et de virulence anarc

26 pas un héroïsme, ni un défi, mais une patiente et tendre application. Le contraire absolu de toute littérature, de tout lyrism

27 rétienne définie par l’Apôtre (Romains 8), et qui tendrait à restaurer le Cosmos dans sa loi primitive, troublée par le péché ?

28 ture par les passions nationalistes : tout ce qui tend à ruiner la personne. Mais ce sont là des phénomènes complexes et col

29 me. « L’Amour vient de Dieu, appartient à Dieu et tend vers Dieu. » Le vieux fou de Transjordanie profère une vérité premièr

30 e monde concret, il n’est pas vrai que tout amour tende vers Dieu. Il n’est pas vrai non plus que tout l’humain soit humain.

31 rigine de l’amour-passion. Or cette exaltation ne tend pas vers le vrai Dieu, ni vers la créature telle qu’elle est, mais ve

32 ’est une espèce de narcissisme. Le seul amour qui tende vers Dieu et qui l’atteigne à travers la vraie créature, c’est l’amou