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’y vois la réalisation concrète d’une théorie qui
tend
à faire de ce monde un séjour meilleur pour les hommes. » C’est le bo
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ontribue à créer des obscurités que le style très
tendu
de M. Malraux n’est pas fait pour dissiper. Perken, dans ses conversa
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bientôt s’affaiblit à force de se compliquer, et
tend
à se réduire à une casuistique. Comment imaginer et comment animer de
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tion. M. Maulnier critique un monde qui selon lui
tend
à la suppression de la personne humaine. Sa critique nous paraît pert
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s pouvons les renvoyer dos à dos. L’un et l’autre
tendent
à nous faire croire que l’homme n’est rien, mais moins que rien, et q
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une présence activement perpétuée ». Et tout cela
tend
à créer dans l’âme une disponibilité paradoxale : « parce que l’âme s
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possible que si l’on sait bien où l’on va. À quoi
tend
la pensée… de Kierkegaard ? Contre la presse et l’opinion publique, i
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iemment à la tentation unitaire, c’est-à-dire qui
tendrait
à se fermer sur elle-même et à n’admettre plus de recours direct au c
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et posséder son principe d’unité, une Église qui
tend
à se fermer par le haut pour mieux assurer sa cohésion humaine, devie