1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ce n’est pas lâcher la proie pour l’ombre que de tendre vers ce modèle. Dirais-je que c’est ma sincérité d’y aller par les mo
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
2 enêtres du palais s’étoilèrent des halos. Le jour tendre paraissait sous l’égide de la mort. Il vit des fleurs de son enfance,
3 uvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de tendre orgueil. Il respire déjà l’odeur merveilleuse des objets et des êtres
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
4 n cocktail en guise de métaphore, avec une pensée tendre pour un ami poète. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À
5 onnelle dont le monde moderne se contente, et qui tend à remplacer, grâce à la mentalité scolaire et primaire en particulier
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 i se passe à l’intérieur d’une enceinte de toiles tendues au-devant d’un petit théâtre. La rampe est d’un bleu stellaire, un bl