1 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
1 par les cheveux. Il faut que du dehors un bras se tende . Le chrétien sait que ce bras s’est tendu. La foi est un ordre reçu,
2 bras se tende. Le chrétien sait que ce bras s’est tendu . La foi est un ordre reçu, obéi et ordonnateur. Elle contient tout en
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
3 s pouvons les renvoyer dos à dos. L’un et l’autre tendent à nous faire croire que l’homme n’est rien, mais moins que rien, et q
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
4 marxiste — qui n’est pas celle de Marx lui-même — tend à rendre l’homme irresponsable, obéissant aux seules lois que lui rév
5 e lui révèle la science, nouvelle théologie. Elle tend à rendre les hommes interchangeables, parce que sans vocation personn
4 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
6 24. Illustration politique : à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’homme, succède une dictatu
5 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
7 rtu du principe d’inertie(tout corps en mouvement tend à conserver son mouvement). C’est ainsi que ces activistes désorienté
6 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
8 e. Les fascismes régnants en ont fait un abus qui tend à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au sacrifice de toute
7 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
9 us irréel, car la mystique du travail quantitatif tend à vider le loisir de tout contenu concret. 70. Après avoir touché à
8 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
10 s d’une plénitude joyeusement renouvelée. L’homme tendu assume dans ses desseins la nécessité et le jeu, les combinant selon