1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 le, les colons de la Nouvelle-Angleterre aient pu tendre la main à ceux des côtes de la Californie. C’était une grande victoir
2 r plus que tout, ce sont les forces d’inertie qui tendent à faire de cette opinion libre, le porte-voix d’un « libre conformism
3 e va pas dans le sens de l’idéal commun vers quoi tendent les Américains, et qui les fait devenir vraiment Américains, quelles
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 e grand reporter français cherche à expliquer, il tend à l’essai. Le correspondant américain cherche à faire voir, il tend a
5 correspondant américain cherche à faire voir, il tend au roman. Sa gloire et son statut social éclipsent bien souvent ceux
6 n’écrit guère pour simplement décrire. Il vise et tend toujours, de tout son être, à dégager un sens satisfaisant. Avant tou
7 de domicile facilitaient des contacts nouveaux et tendaient à dissoudre les sectes purement locales, le processus s’est renversé.
8 u bien l’église va dans le siècle, l’organise, et tend à se confondre avec la société terrestre, mais alors la foi tend à se
9 ndre avec la société terrestre, mais alors la foi tend à se confondre avec la morale du bourg ; ou bien l’église se dresse f
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
10 us sommes donc en présence d’une civilisation qui tend vers le matriarcat, dans la mesure où les facteurs économiques la dét
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
11 aisies. Quant au citoyen moyen des États-Unis, il tend de plus en plus à nous considérer comme des gens à qui l’on ne saurai
12 ontrent une tête nouvelle, ne sourient guère. Ils tendent une main précise, accompagnée d’un regard qui jauge cet adversaire ou