1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 , l’allemand, le français, l’italien ; au lieu de tendre à les réduire, il en a reconnu une nouvelle en 1938 ; le réto-roman,
2 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
2 n ait jamais vue. Car là où la série domine, tout tend à l’anonymat ; tandis que le perfectionnement qualitatif requiert le
3 de leurs adhérents. Comme les coopératives, elles tendent à corriger les excès éventuels qu’entraîne la liberté totale du comme
4 es et entreprises, cantons et cartels régionaux — tend à ralentir l’évolution vers l’étatisme, d’une part, et vers certains
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
5 ins brillant et délié de langue que le second, il tend à se conformer à cette « honorable moyenne » qui fait la force princi
4 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
6 e l’évolution générale, depuis un siècle et demi, tendait à dissocier ou même à opposer, mais dont on vient de voir qu’une long
7 utralité. Deux facteurs psychologiques importants tendent à entraver la participation de la Suisse en tant qu’État aux conseils
8 s de puissances dans l’impuissance générale, tout tend à confirmer, aux yeux des Suisses, que l’heure n’est pas encore venue