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embres et les enchaîne en mettant à leurs yeux un
tendre
lien, l’heure aussi où s’ébat la troupe des songes véridiques ; alors
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t au taureau elle donna un baiser. Lui, poussa un
tendre
mugissement ; on aurait cru entendre résonner le chant harmonieux de
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urnant en arrière, appelait ses compagnes et leur
tendait
les bras ; mais elles ne pouvaient pas l’atteindre. Le taureau parvin
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ait envahi l’éclat de mes joues, que cette proie,
tendre
et pleine de sève, se soit desséchée, je veux belle encore, nourrir l