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rtualités. Ces vifs plaisirs profonds, anxieux ou
tendres
, moments de grâce de l’amour humain et couleurs du langage mystique,
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relève le défi et, malgré l’emprise du mythe qui
tend
à l’enfermer dans sa durée lyrique, poursuit l’histoire de la personn
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uerait-elle ce « déchaînement de l’érotisme » qui
tendrait
à neutraliser ses effets déshumanisants ? On peut l’imaginer d’une ma
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heureux ». Lolita n’a jamais répondu à la passion
tendre
et sauvage de son aîné. De là l’échec du Mythe et par compensation le
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u frère aîné. Sa façon d’entrer, de s’asseoir, de
tendre
négligemment au contrôleur l’argent de deux parcours, c’était déjà un
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’ailleurs traduire « des relations déficientes et
tendues
avec le monde », Ulrich conte de nouveau l’histoire de « la femme la
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des chapitres non terminés, ajoute : L’homme qui
tend
à Dieu, selon Adler, est celui qui est privé de sens communautaire —
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arté : « Je dois être cruel, mais c’est pour être
tendre
… » Il convient de marquer ici, en toute justice, une différence profo
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de la connaissance. C’est Nietzsche lui-même qui
tend
la main au Commandeur — à l’Éternel Revenant, au Père ! — dans un sup
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haut, provoque la mort lorsque le Commandeur lui
tend
la main, au dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime défi des
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à mon « Tireur zen », mon zen… L’arc est toujours
tendu
. Eh oui, bien sûr, pourquoi ne pas penser ici au bios d’Héraclite, qu
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u xxe siècle nomment et dénoncent les forces qui
tendent
à le dissocier, les névroses qui l’assiègent de toutes parts, et retr
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bscurcie » par son union avec le corps. Elle doit
tendre
à se libérer du phénomène individuel au lieu que l’âme chrétienne doi
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ant « imagine » (dont il devine l’Image) et qu’il
tend
à faire exister dans l’être aimé, par l’efficace de son amour pré-fig
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mme amour courtois et amour mystique. Car l’amour
tend
à la transfiguration de la figure aimée terrestre, en l’adossant à un
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e, comme figure de la Sophia divine). Que l’amant
tende
à contempler l’être aimé, à s’unir en lui, à en perpétuer la présence
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nir en lui, à en perpétuer la présence, son amour
tend
toujours à faire exister quelque chose qui n’est pas encore existant
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ddhique, qui est une sorte d’hygiène spirituelle,
tend
à détruire, en nous, les causes de souffrance pour autrui.116 » « On
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et l’Ouest. Lire aussi, mais c’est beaucoup moins
tendre
pour les deux, c’est même féroce, le chef-d’œuvre d’Henri Michaux, Un
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a personne. L’amour lui-même, qui m’a créé sujet,
tend
à discerner dans autrui le sujet qui pourra lui répondre. Son regard
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trui le sujet qui pourra lui répondre. Son regard
tend
à susciter ce qui peut être aimé parce qu’aimant à son tour. Cette ac
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et le situent dans l’amour vrai, le désir sensuel
tend
aussitôt à redescendre au plan de l’instinct. Mais alors que le désir
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mple et clair. J’entends bien que ton explication
tend
à établir que, dans les circonstances particulières où il a été fait,