1 Si la personne du chrétien, dans son équilibre en tension , unit le meilleur de Rome et de la Grèce, elle est aussi menacée, dan

2 — toute une vitalité librement ordonnée, faite de tensions multiples, entrecroisées. Esquissons ce portrait de l’Europe telle qu

3 bjurgations de la chaire. Voici donc une nouvelle tension qui s’institue. Mais la fonction de l’école est demeurée la même : el

4 les et des exigences collectives — en perpétuelle tension , lutte et conciliation, antinomique et pleinement valable. À cela s’a

5 einement valable. À cela s’ajoutent les multiples tensions , non seulement entre les institutions elles-mêmes, mais aussi entre l

6 pe et le monde ; tout se ramenant, en somme, à la tension entre le particulier sous toutes ses formes — fussent-elles nationale

7 ou assurée par une méthode qui ne supprime pas la tension mais la maîtrise, évitant à la fois le lugubre unisson et la cacophon

8 rogrès. Dans la mesure où cet immense complexe de tension n’est pas trop déprimé ou dévasté par les guerres, les dictatures et

9 fût-ce qu’une part du potentiel accumulé par ces tensions , on conçoit qu’il fonctionne alors comme le foyer d’une expansion éne

10 densité remarquable d’institutions pluralistes en tension , et à cette lutte toujours ouverte entre tradition et innovation, que