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hement qu’elle résulte, d’une déficience de cette
tension
créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « tem
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lité où la personne retrouve l’un des pôles de sa
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. Peut-être est-il plus difficile d’être équitable envers le spiritual
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n par l’acte. Instauration de la personne dans la
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entre l’objet et la volonté formatrice. Rédemption par l’effort créat
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ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la
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créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
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ur la contradiction fondamentale qui constitue la
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la plus féconde de l’œuvre de Nietzsche, on n’a rien écrit de meilleu
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l’abri d’un faux équilibre, — d’un équilibre sans
tension
. Ici interviendra le second fait : l’équilibre social, pour rester sa
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qu’on pourrait nommer l’ascèse personnaliste, la
tension
même qui constitue la personne et l’identifie, l’effort de l’homme po
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s obstacles institutionnels entraîne une chute de
tension
morale d’où résulte une immense confusion. L’adultère devient un suje
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ques. Et l’aventure reprendra son départ dans une
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incalculablement plus forte que celle qui s’institua au xiie siècle.
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des moyens prédestinés à l’exalter. Telle fut la
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permanente d’où jaillirent nos plus belles créations. Mais ce qui pro
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serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre
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créatrice. De fait, cela n’est pas possible. Le philistin qui « conda
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nne, à la fois libre et engagé, et vivant dans la
tension
entre l’autonomie et la solidarité, correspond le régime fédéraliste.