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le chrétien existe en tant que le péché crée une
tension
entre lui et Dieu. Mais le péché ne devient réalité que pour le conve
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relle : s’il ne retrouve pas de loi interne et de
tension
par le péché, il n’est plus qu’un être sans destinée, un « indiscret
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t rien de plus que leur propre rationalisme, sans
tension
ni grandeur : ils ne savent pas voir dans la sagesse faustienne qu’el
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ccidental, dès qu’il atteint les régions de haute
tension
où la seule « orientation » qu’il adopte suffit à déterminer une suit
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s malentendus, l’on jugera mieux de la qualité de
tension
et de décision spirituelle que supposait un tel ouvrage. M. Thibaudet
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e les poser sous la forme concrète d’une série de
tensions
qu’il s’agit d’orienter et de rendre fécondes : solutions nécessaires
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e ; enfin, personne et individu. Cette dernière «
tension
», à laquelle se ramènent toutes les autres, est en train de devenir
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gouvernement et nos techniques, mais non pas les
tensions
spirituelles qui en étaient le moteur secret. Ce qui était pour nous
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s les premiers conciles, ses modèles de pensée en
tension
: Incarnation, personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’o
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agit de la reconnaissance d’une bipolarité, d’une
tension
permanente entre l’individu et le « vrai moi ». (L’individu n’est pas