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et vers la décadence ? Ou bien dans un système de
tensions
créatrices sans cesse accrues, orienté vers la restitution d’un class
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point la tolérance indifférente, mais le sens des
tensions
fécondes et de l’union dans la diversité. Or ce génie fédéraliste n’e
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se entre une contradiction dans les termes et une
tension
féconde dans les réalités, veulent supprimer la seconde parce que la
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donc de les composer, ou mieux, de les mettre en
tension
. La résultante se nomme la paix. L’Europe étant une et diverse, compo
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es de l’ensemble où elles se composaient dans une
tension
commune vers la résolution toujours fuyante. Toutes les trois sont le
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ut point du paradoxe, a créé un type de pensée en
tension
, ou mieux par tensions, qui sera jusqu’à nous la marque et le ressort
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a créé un type de pensée en tension, ou mieux par
tensions
, qui sera jusqu’à nous la marque et le ressort de l’esprit de recherc
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roblématique de nos sciences. a) La pensée par
tensions
. — Le dogme du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation d
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la personne. Il s’agit bel et bien de vivre leur
tension
. Et c’est ainsi qu’à tous les degrés, de proche en proche, sur tous l
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rtant, ces polarités reproduisent le même type de
tension
nécessaire (les deux termes sont vrais, contradictoires, mais essenti
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crite et Aristote — l’atomisme et le continu — la
tension
à vrai dire « n’existe » pas. Il s’agit simplement de l’antagonisme d
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ifique, naît et renaît sans fin ni cesse de cette
tension
. S’il est vrai que le secret de la synthèse est de « comprendre » les
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fois universelle et incorruptible, naît de cette
tension
, de cette lutte avec l’idée de Dieu jusque dans la connaissance du ré
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hose, miroir, limite, sacrifice, chance, drame et
tension
, ne sont guère définis que par leurs rapports mutuels et tirent de ce
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le chrétien existe en tant que le péché crée une
tension
entre lui et Dieu. Mais le péché ne devient réalité que pour le conve
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relle : s’il ne retrouve pas de loi interne et de
tension
par le péché, il n’est plus qu’un être sans destinée, un Indiscret. «
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vre soient pareils, alors qu’ils sont toujours en
tension
dialectique — du moins s’ils comptent ? Nos trop rares entretiens m’o
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et vers la liberté, qui est souffrance et vision,
tension
et sacrifice, incarnation de la Parole dans l’histoire. Maintenant, c
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mme puissance.96 Don Juan est un mouvement, une
tension
pure, ou n’est plus rien. Lancé comme une pierre qui ricoche à la sur
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aard est ce système qui se définit par la mise en
tension
et l’interdépendance de trois réalités hétérogènes : — sa croyance en
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intérieur, rend ces existences exemplaires : deux
tensions
pures. Le grand jeu des puissances mythiques y révèle mieux qu’ailleu
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me acte de Tristan « à moins de suffoquer sous la
tension
convulsive de toutes les fibres de son âme ». Cet ouvrage de jeunesse
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un dilemme à trancher qu’il s’agirait, mais d’une
tension
à restaurer dans son équilibre vital… Sens final des deux mythes
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. En effet, nulle vie n’est concevable hors de la
tension
permanente, voire de la lutte (latente ou déclarée) entre au moins de
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ont raison contre la vie, dès qu’elle relâche ses
tensions
. Tous les deux ont raison contre l’amour, sitôt qu’il se ramène en so
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ires dont il s’agit d’optimiser la coexistence en
tension
. L’UEF choisit ce jour-là le risque de collaborer. Elle le fit, sembl