1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
1 ogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de tension créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà virtuellement menac
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
2 u et l’angoissé. Sa grandeur étant mesurée par la tension qui l’opposait à son époque. Telle est l’origine spirituelle, ou cult
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
3 ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
4 urd’hui, parle de dialectique, il s’agit moins de tension et d’action que d’une évolution historique nécessaire, d’une successi
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
5 qu’on peut le décrire soit comme résultant d’une tension donnée, soit comme obéissant à l’appel d’une fin. Soit par ses causes
6 e de conservation, de permanence ? Loin de là. Sa tension concrète vise toujours la nouveauté, que les conservateurs nomment sc
7 la nature profonde de l’homme occidental, dont la tension particulière peut être définie ainsi : violence initiale et créatrice
8 bitudes et mécanismes inhumains ou trop humains ; tension qui se résout en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-co
9 un acte. C’est faire simplement abstraction de la tension , de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu co
10 mais incertain de ses limites agrandies. Perte de tension , en chaque point du cercle. Il faudra bien la compenser par une rigid
11 Enfin, nous avons assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret
12 assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret par excellence,
13 en éléments désormais dépravés, car leur mise en tension ne les a pas laissés intacts. Ce relâchement n’est pas un apaisement,