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ogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de
tension
créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà virtuellement menac
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u et l’angoissé. Sa grandeur étant mesurée par la
tension
qui l’opposait à son époque. Telle est l’origine spirituelle, ou cult
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ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la
tension
créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
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urd’hui, parle de dialectique, il s’agit moins de
tension
et d’action que d’une évolution historique nécessaire, d’une successi
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qu’on peut le décrire soit comme résultant d’une
tension
donnée, soit comme obéissant à l’appel d’une fin. Soit par ses causes
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e de conservation, de permanence ? Loin de là. Sa
tension
concrète vise toujours la nouveauté, que les conservateurs nomment sc
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la nature profonde de l’homme occidental, dont la
tension
particulière peut être définie ainsi : violence initiale et créatrice
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bitudes et mécanismes inhumains ou trop humains ;
tension
qui se résout en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-co
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un acte. C’est faire simplement abstraction de la
tension
, de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu co
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mais incertain de ses limites agrandies. Perte de
tension
, en chaque point du cercle. Il faudra bien la compenser par une rigid
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Enfin, nous avons assumé, et concentré toutes ces
tensions
dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret
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assumé, et concentré toutes ces tensions dans la
tension
originelle et solitaire de la personne, acte concret par excellence,
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en éléments désormais dépravés, car leur mise en
tension
ne les a pas laissés intacts. Ce relâchement n’est pas un apaisement,