1
flictuelle, l’histoire de l’humanité est faite de
tensions
subies ou maîtrisées, fécondes ou destructrices. Prétendre que puisse
2
marqués par son enseignement, l’ont été par cette
tension
particulièrement vivante entre l’homme et ce qu’il exposait, qui n’ét
3
ersonnel » (plutôt qu’« individuel ») s’unit « en
tension
perpétuelle » au pôle « communautaire » (plutôt que « collectif ») :
4
œuvre qui refuse la synthèse et lui préfère la «
tension
». Notre travail a débuté en décembre 1983. Il fut achevé en août 198
5
e est évidemment non. 26 novembre 1965 Toutes les
tensions
dans la vie sociale et civique européenne se manifestaient autour de
6
par paires, deux par deux, on pouvait trouver les
tensions
qui permettent de reconstruire au fond toute notre civilisation. Pren
7
du village ou de la petite ville, vous avez cette
tension
qui reproduit à l’échelle communale, municipale, la vieille oppositio
8
nt les différentes fonctions de la société et les
tensions
qui l’animent. Dans la grande ville moderne, la place (l’agora) est d
9
contrastes et les combinaisons entretiennent des
tensions
renouvelées sans répit. 24 avril 1970 Avec les trois sources classiqu
10
de s’harmoniser, mais qui font la richesse et les
tensions
intérieures de l’Europe. Mais derrière tout cela, beaucoup d’éléments
11
tion possible que s’ils sont là tous les deux, en
tension
, que si l’un des deux ne parvient pas à éliminer complètement l’autre
12
donc obligé de composer avec lui. Pour que cette
tension
, cette composition, n’aboutisse pas à ce qu’on pourrait appeler un co
13
pport, de telle manière que la résultante de leur
tension
soit positive. L’ensemble des problèmes et des solutions ainsi défini
14
près. 17 février 1964 La fédération est faite de
tensions
, entre des diversités qui sont supposées maintenues, protégées. C’est
15
sabilité comme les deux pôles qui représentent la
tension
du citoyen, de l’individu sain. À partir de là, on peut imaginer tout
16
où tout est complètement réglé. Il n’y a plus de
tension
entre l’individu et la communauté. À l’autre extrême, si le pôle resp
17
narchie. La cité en santé est un bon équilibre en
tension
entre liberté et responsabilité. 11 novembre 1966 Vouloir la liberté,
18
ue devrait poursuivre l’Europe serait une mise en
tension
productive de l’autorité et de la liberté. h. Avec l’introduction
19
sans responsabilité. Les deux termes sont liés en
tension
dialectique : ils ne s’excluent ni ne s’abolissent en concept synthét
20
tuera, ainsi, ce qu’on appelle une fédération. La
tension
entre liberté et responsabilité appelle donc le fédéralisme, à la foi
21
té. 9 février 1968 Il faut s’habituer à penser en
tension
quand il y a des antinomies, et ne pas essayer follement d’éliminer u
22
nommer la « personne ». 2. La personne comme «
tension
» 20 janvier 1967 J’ai défini et situé jusqu’ici un certain nombre
23
à l’organe et des organes au corps, est faite de
tensions
en équilibre mouvant. 18 février 1966 La personne se définit comme un
24
s ce paradoxe, il y a toujours ces deux choses en
tension
créatrice. 24 juin 1977 Il y a toujours une tension entre l’autonomie
25
nsion créatrice. 24 juin 1977 Il y a toujours une
tension
entre l’autonomie et la responsabilité vis-à-vis d’autrui, c’est-à-di
26
stence complète de ces deux pôles et leur mise en
tension
. Il y a l’exemple de la dialectique de Hegel : la thèse, qui est niée
27
être une chose unique ; il n’est plus question de
tension
. Dans le fédéralisme ou dans la notion de la personne, c’est tout à f
28
il est chargé d’une énergie du fait de sa mise en
tension
. L’individu se trouve précisé, dessiné, et on pourrait dire dynamisé,
29
iné, et on pourrait dire dynamisé, par sa mise en
tension
avec le milieu social ; et c’est sur le fond de ce milieu social que
30
Les mêmes critères et exigences : l’équilibre en
tension
(formule même de la vie), par opposition à des cadres contraignants e
31
et engagé. Un homme antinomique, qui vit dans la
tension
entre le pôle de la liberté individuelle et le pôle de la responsabil
32
viduel et l’aspect communautaire, et les relie en
tension
dialectique. La personne, ainsi, suppose deux pôles irréductibles : l
33
la personne, le fédéralisme est le produit d’une
tension
entre deux pôles antinomiques et irréductibles : les pouvoirs fédérés
34
onsiste à rechercher l’optimum de combinaisons en
tension
. La recherche des conditions optimales entre des finalités antinomiqu
35
ou sur la diversité. Liberté Puissance
Tension
Dialectique Diversité dans l’union Réduction à l’homogène Statisme Ra