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l’idée fédérale, mais celui d’une diplomatie qui
tentait
de « faire l’Europe » à la sauvette, sans poser la question dans son
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r, inverse de la première, qui ne cessera de vous
tenter
: celle de l’organisation rationnelle d’activités qui par essence, ne
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pas des raisons économiques. Le fédéralisme, j’ai
tenté
de vous le montrer une fois de plus, vit des mêmes réalités spirituel
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ar de récents travaux d’érudition. Bon. Mais vous
tentiez
aussi d’expliquer l’homme contemporain. Et lui, depuis quelques année
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Il n’y a plus d’obstacles que les mythes puissent
tenter
de vaincre. Pardon ! Il s’en crée maintenant d’énormes et d’inédits.
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ue, veut-elle former ? Je crains bien que si l’on
tentait
de le déduire d’une observation attentive de nos universités, l’on ne
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’y crois pas. La presque totalité des expériences
tentées
dans cette intention si louable ont échoué, et les raisons de ces éch
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te que nous pourrions préconiser, si nous voulons
tenter
de faire face au problème posé par l’accroissement babélique de la sp
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e connais trop bien les ruses naïves, laissez-moi
tenter
aujourd’hui de reconstituer l’innocence de mes débuts dans l’écriture