1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 e peut-être un léger goût iodé, au moins l’on est tenté de l’imaginer : la vigne croît ici au ras d’un sol sablonneux que l’o
2 nt que symboles, invites angoissées ou séductions tentées dans l’inconnu. Autrement, comment supporter leur petitesse ? Si je g
3 manière romantique, et somme toute vaniteuse, de tenter le destin « pour voir », qui est la manière des amateurs de vie inten
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
4 ion de notre style à notre action. On serait même tenté d’estimer que la plus grande rigueur entraîne la moindre efficacité ;
5 s volontés exploitées par le plus bavard, je suis tenté d’écrire quelque chose de méchant : que ce pays est à l’image des que
6 content. Là-dessus, deux séries de réflexions me tentent . 1) Réflexion du « fasciste » ou du disciple de Lénine. — Le peuple,
7 ontre la chose en soi, mais contre ceux qui l’ont tentée . C’étaient des hommes qui ne supportaient pas la société capitaliste,
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
8 ums et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faiblesse offerte au moins autant que par que