1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 eusement, estimant que l’expérience valait d’être tentée , et qu’il était en somme bien plus intéressant de jouer la règle du j
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 qu’au-dehors du pays, envers et contre quiconque tenterait de leur faire violence, de les inquiéter ou molester en leurs personn
3 porer. Les traités de 1814 et 1815, en effet, ne tentèrent nullement de démembrer la Suisse. Au contraire, tout en sanctionnant
4 ifs des actes principaux qui la jalonnent, on est tenté de conclure à un utilitarisme assez étroit, que l’on pourrait qualifi
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
5 ntionnée dans la Constitution fédérale. On serait tenté d’y voir la preuve que cette autonomie va de soi chez les Suisses. Le
6 lvétique » (1799-1803), la France révolutionnaire tenta d’imposer aux Suisses un régime totalement unifié, mais la résistance
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
7 Institutions et aspirations économiques Nous ne tenterons pas, dans ce chapitre, de donner un tableau complet de l’économie sui
8 ans le domaine de l’agriculture que la Suisse ait tenté une expérience d’autonomie relative, sous la menace d’étranglement cr
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
9 aussi vain de vouloir unifier les Suisses que de tenter de niveler leurs montagnes ! Si les différences sont ineffaçables, el
10 je crois, sur les ressemblances, et nous serions tentés , quant à nous, de les voir un peu — qualités et défauts — comme ils v
11 voient les Bernois. Par rapport à nous, je serais tenté de chercher la différence essentielle dans le fait que, rattachés pol