1 de la République des Lettres, ayant sa place à la terrasse du café de leur commerce, emboîtant le pas à leurs musiques militaire

2 ergsonien pittoresque et succulent, devisant à la terrasse des Deux Magots, n’a pas eu le temps de s’apercevoir que « les grande

3 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,

4 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p

5 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le

6 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de

7 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p

8 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit

9 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à

10 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une