1 l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terrasses , des amateurs de baisers dans l’ombre et des fumeurs isolés qui ont f

2 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis

3 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él

4 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne

5 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à

6 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il

7 érences…   La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o

8 e jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de c

9 xquise, navrante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme

10 mmobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épi