1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
1 ans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la terrasse , une fontaine abondante coule dans un fort grand bassin rectangulaire
2 descend par d’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à
3 paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la terrasse , au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de l
4 village. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur
5 . Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses , c’est gênant. Un homme me disait l’autre jour : Ah, monsieur le past
6 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,
7 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p
8 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le
9 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de
10 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p
11 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit
12 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à
13 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
14 n’a bougé. Les mêmes têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés. Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histo
15 t 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte d’Italie, au milieu de ce que les journaux appellent le «