1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terrasses , des amateurs de baisers dans l’ombre et des fumeurs isolés qui ont f
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis
3 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él
4 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne
5 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi m
6 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
7 érences…   La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
8 e jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de c
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
9 ans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la terrasse , une fontaine abondante coule dans un fort grand bassin rectangulaire
10 descend par d’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à
11 paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la terrasse , au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de l
12 village. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur
13 . Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses , c’est gênant. Un homme me disait l’autre jour : « Ah, monsieur le pa
14 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,
15 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p
16 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le
17 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de
18 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p
19 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit
20 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à
21 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
22 n’a bougé. Les mêmes têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés. Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histo
23 t 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte d’Italie, au milieu de ce que les journaux appellent le «
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
24 ême de la vie… À Nîmes, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café. Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous ser
25 er ? Sans eux, l’on oublierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent c
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
26 littéraire » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
27 de la terre jusqu’au bleu pur, contemplées de la terrasse du cimetière où s’abrite une très vieille chapelle anglicane, sous de
28 rivons aujourd’hui, un château anglais entouré de terrasses et de jardins à la française, statues, pièces d’eau et boulingrins. L
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
29 e. Plus à droite, je domine le toit plat, formant terrasse , d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par
30 us, Frobenius. Hier c’était au Brevoort, la seule terrasse de café de New York, avec quelques jeunes professeurs de l’École libr
31 e chaleur sur New York, et voici les balcons, les terrasses , les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
32 man Place et de la cinquante et unième rue. De ma terrasse vertigineuse, je domine toute proche la maison des Max Ernst, dont l’
33 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
34 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du dixième au trentième étage du River Club, où vivent des milliarda
35 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage
36 plus bas dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
37 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
38 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
39 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cour s’ouvre — l
40 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
41 ant comme une petite maison en soi, posée sur les terrasses . 94. Je n’oublie pas celui du général de Gaulle à la radio de Londre