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es grandes villes actuelles, étendue à toutes les
terres
émergées), 3 habitants au m2 en 2570, trente ans plus tard tout le mo
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nce, résulte d’une très mauvaise gestion de notre
terre
et de ses ressources. Mais qui était le Gérant responsable ? La répon
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les États-nations, nés et multipliés sur toute la
terre
, au xxe siècle. Ce sont eux seuls qui ont prétendu gérer la terre. Q
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ècle. Ce sont eux seuls qui ont prétendu gérer la
terre
. Qui s’en sont octroyé le droit souverain. Eux seuls qui en avaient l
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crise qui résulte de cette mauvaise gestion de la
terre
, nous tenons donc un responsable incontesté, l’État-nation souverain
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s — mauvais Européens ! — et répandu sur toute la
terre
. Et avec cela, le principal est sinon dit, du moins très clairement a
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à imaginer au-delà. Et nous en avons persuadé la
terre
entière ; environ 150 États-nations, dont les deux tiers sont nés au
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un arrêt, la mort de l’individu et le retour à la
terre
. Rien de pareil dans la croissance industrielle qui augmente indéfini
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tre humain disparaîtrait, où les ressources de la
terre
seraient épuisées, dans un temps extrêmement bref. L’impact du rappor
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: on ne peut transformer toute la substance de la
terre
en énergie. Il faudra bien s’arrêter un jour, alors, autant y penser
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le force à être enraciné comme un paysan lié à la
terre
, c’est un grand malheur. Et s’il est purement nomade, aussi. Mon idée
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nt tout entier, et par lui tous les peuples de la
terre
qui copient notre civilisation industrielle, scientifico-technique, q
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t pas ma vocation, que toutes les religions de la
terre
l’ont condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos Béatitudes, et
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si bien qu’il peut relier des hommes de toute la
terre
, la vie communautaire concrète est proximiste, c’est-à-dire communale
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t est celui qui marque, que ce soit un objet, une
terre
, ou le cœur d’un être. Ni l’état, ni même la commune ne pourront rien
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argés de distribuer aux éléments prolétariens les
terres
personnelles. (ON 16) Personne. Elle est toujours « supérieure à l
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le lieu de ce contact direct avec la chair et la
terre
qui est nécessaire à l’homme. (ON 15) (On sait que l’argument « trop
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s uns des autres que les étoiles ne le sont de la
terre
, et que c’est sur ce vide sidéral, infini, cette vacuité fondamentale
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de, à l’évidence, dans une mauvaise gestion de la
terre
: pollution, pillage des ressources, surpopulation, surarmement délir
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prétentions au pouvoir exclusif de gestion de la
terre
— et, dès lors, les calculs d’avenir les plus catastrophiques ont seu
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devant la vie, devant le destin de l’homme sur la
terre
, il y a deux morales incompatibles en théorie, si elles sont parfois
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l’appui du Ciel et de ses longs regards sur notre
terre
. Choisir les unités locales, voire familiales, d’énergie solaire, c’e
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our moi, la pollution majeure et définitive de la
terre
serait la guerre atomique que préparent, malgré eux, tous nos États-n
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rce. Tout se passe donc comme si la surface de la
Terre
se laissait découper par des abstractions guerrières, et ce au mépris
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re pour le livre de Franz Fanon, Les Damnés de la
terre
, dans laquelle il déclare, en gros, que les Africains auraient raison
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0 %, 7 %, 3 % par an ? Personne ne le sait. Or la
terre
n’est pas infinie, les ressources terrestres, vous le savez, sont lim
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ièrement de nous ; mis à part les tremblements de
terre
. Je crois que tout dépend de nous. Autrefois on disait : « L’avenir n
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nt 100 à 150 pour cultiver un très grand lopin de
terre
qu’ils avaient acheté en Haute-Provence. Et quand ils sont devenus un
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ux « conceptions de l’homme et de son rôle sur la
terre
qui nous animent en vérité ». Un exemple particulièrement frappant de
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s l’homme, au cœur de l’homme d’aujourd’hui ». La
terre
du xxie siècle sera très exactement ce que nous aurons voulu et c’es
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e civilisation. Ce sont eux seuls qui ont géré la
terre
. Eux seuls qui en avaient les moyens. Pour que l’avenir devienne notr
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ir est une conséquence du passage d’Hitler sur la
terre
, surtout lorsque ce passage a croisé la progression de l’automobile.
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rd. Selon la mythologie, Pluton s’enfouit sous la
terre
au milieu de ses immenses richesses, il s’ennuie tellement dans ses e
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t les États-nations et eux seuls, qui ont géré la
terre
. Ils ont géré et détruit les ressources en vue de leur puissance. Pou
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un lieu où vivre ensemble, non « dispersés sur la
Terre
». C’est la tour de Babel, mythe illustrant au mieux le destin de nos
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er projet d’union de l’Europe : Pour récupérer la
Terre
sainte, rédigé en 1306. Pierre Dubois, son auteur, est un juriste de