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e l’homme européen, et pour sauver, en face de la
terre
des masses, et de la terre des machines, et des terres immenses de la
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sauver, en face de la terre des masses, et de la
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des machines, et des terres immenses de la fatalité, une Europe qui d
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e des masses, et de la terre des machines, et des
terres
immenses de la fatalité, une Europe qui demeure la terre des hommes.
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mmenses de la fatalité, une Europe qui demeure la
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des hommes. a. « Extrait du discours prononcé par Denis de Rougemon
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es de notre puissance chez tous les peuples de la
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; et puis soudain, au xxe siècle, le renversement subit et complet d
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idées, combinés au hasard : tous les micros de la
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n’en feront pas une action. ⁂ Une action se définit par son sens et p
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Renaissance à découvrir les autres peuples de la
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, pour les convertir et les dominer, alors que nous Européens, n’avons
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ale de curiosité universelle, d’exploration de la
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et de l’Homme, de dialogue vrai. Les deux premières formes « d’échang
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censés gouverner le réel (par exemple : rendre la
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et la femme fécondes, les dieux et les morts favorables), on cherche
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, c’est « s’inscrire dans le jeu circulaire de la
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et des astres » (Nyota Inyoka). C’est reproduire sans faute, de la ma
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f nécessaire pour l’œuvre des « Alpes de Lumière,
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d’Europe », dirigée par le très dynamique abbé Martel, et englobant c
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ique tient peu de place sur notre globe : 4 % des
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et un septième (diminuant) de la population mondiale. Si ce petit cap
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population mondiale. Si ce petit cap a dominé la
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pendant des siècles, s’il en demeure le Musée et le Laboratoire, il l
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s non pas les valeurs, sont répandus sur toute la
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, imités et copiés par tous les peuples. Or ces produits sans les vale
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ès notre Antiquité gréco-romaine, « cultiver » la
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ou l’esprit signifie : en tirer davantage que la Nature seule n’eût p
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: que l’Europe, qui représente à peine le 5 % des
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du globe, assez pauvre en matières premières et moins peuplée que l’I
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ope qu’on le doit : c’est elle qui a découvert la
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entière, c’est elle que l’on imite partout, et c’est d’elle enfin que
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, c’est « s’inscrire dans le jeu circulaire de la
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et des astres » comme l’écrit Nyota Inyoka. C’est reproduire sans fau
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s mémorable de la Pologne ». Conrad a retrouvé sa
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après quarante années d’exil. Il ne dira qu’une phrase au terme de ce
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eunesse. Lorsque les faibles lumières signalant à
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la présence du « comité de réception » furent repérées, la trappe s’o
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nt toute l’affaire des dons anglais, fut retenu à
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, à l’aérodrome de Varsovie, au moment où Retinger montait dans l’avio
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formation met en contact toutes les régions de la
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, d’une manière à la fois inéluctable, irréversible, et littéralement
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cupation craintive de se tenir « les pieds sur la
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» leur coupe les ailes. L’homme d’action marche, court et vole ; il e
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d’autres convoyaient les matériaux par mer ou par
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; et chaque groupe s’appliquait à une tâche particulière. Jusqu’à ce
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les apparences de la vie quotidienne sur toute la
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. Les langues elles-mêmes, ce plus ancien symbole des divisions de l’h
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tte évolution planétaire. L’Europe a découvert la
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entière, et personne d’autre n’est jamais venu la découvrir. L’Europe
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u de chose plus une culture. Quatre pour cent des
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du globe multipliées par une culture qui a fait le monde, et qui doit
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ne signifie plus l’ambition naïve d’imposer à la
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entière une certaine idée unitaire, rationaliste et tenue pour seule
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endant dix à douze millénaires par les notions de
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sacrée, de bornes sacrées, d’attachement au sol, bref par les réalité
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t cette prolifération délirante de l’homme sur la
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, entraînera l’accroissement de la pollution de nos cités, de nos fleu
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tion et de la consommation, tout le pétrole de la
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semble devoir être brûlé d’ici trente ans selon les uns, quatre-vingt
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nt tout entier, et par lui toutes les races de la
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qui copient notre civilisation industrielle scientifico-technique, qu
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anticorps de ce virus dont nous avons infecté la
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entière. Dernière et peut-être suprême raison de faire l’Europe. Le p
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rritoires. Ce schéma de l’administration de notre
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est en contradiction aussi bien avec la structure des systèmes techni
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s sont 150 aujourd’hui, qui se partagent toute la
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sans reste ! Ils ont tout calculé en fonction de leur « indépendance
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pas sur l’esprit créateur. Et nous savons que la
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ayant des dimensions finies, ses ressources seront épuisées dans des
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pie, dans les limites du destin de l’homme sur la
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. Une seule chose est certaine, c’est la mort, non sa date. Mort de la
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certaine, c’est la mort, non sa date. Mort de la
terre
et mort de chacun de nous. Une seule chose est imprévisible, par défi
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2050, les vingt milliards d’habitants couvrant la
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jouiront (?) d’un revenu de 20 000 dollars par tête. Mais comment pou
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i viennent plus d’autos pour plus d’hommes sur la
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, de là plus d’autoroutes à mettre en train », — et qu’après dix ans é
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t comme une fatalité. Ils couvrent aujourd’hui la
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entière, sans le moindre reste, et ne laissent aucun espace libre. No
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es nouvelles ». « De nouveaux Cieux, une nouvelle
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» sont promis, remplaçant ceux qui existent devant nos yeux. Tous c
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, « ou presque… ». Et d’abord la découverte de la
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, donnant naissance à la notion d’humanité. Les Européens ont découver