1
er au schéma de l’État-nation, celui que toute la
terre
copie au xxe siècle. Et je ne cesserai de dresser cette image comme
2
ui est clair, mais voici qui est mieux encore : «
Terre
de civilisation, l’Europe n’est pas à l’abri de tout soupçon. Je ne c
3
aux USA. Elle s’étend à toutes les parties de la
Terre
où la civilisation européenne apporte le « développement ». On pourr
4
royaume… ne reconnaissant aucun supérieur sur ses
terres
», c’est-à-dire récusant toute allégeance envers l’Empire comme enver
5
qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la
terre
. Pour Hegel, une génération plus tard, l’Europe est vraiment « la fi
6
nce du fait fondamental que « nous n’avons qu’une
Terre
». Et que le seul problème sérieux du siècle est celui de son aménage
7
ue étrangère, 1948. 38. Préface aux Damnés de la
Terre
de Frantz Fanon. 39. Cf. Appendice sur les revues et l’Europe. l. «
8
u de chose plus une culture. Quatre pour cent des
terres
du globe, multipliés par une culture qui a fait le Monde et qui doit
9
mme les mineurs, ils creusent jusqu’au fond de la
terre
, pour pénétrer, au sein de l’éternelle nuit, les mystères du monde té
10
Shiva le mendiant du Ciel et l’éternel errant. La
Terre
est sa demeure, le Ciel son toit. — bouddhisme : selon l’un des fonda
11
ivent l’homme comme « étranger et voyageur sur la
Terre
», ou déclarent que « dans les cieux est notre droit de cité » (notre
12
ienne, qu’aux « Nouveaux Cieux », à la « Nouvelle
Terre
», à la « Nouvelle Jérusalem » des deux derniers chapitres de l’Apoca
13
cer dans le temps de l’Histoire et l’espace de la
Terre
une cité idéale inspirée du non-lieu transcendant de la Nouvelle Jéru
14
et affective, qu’on appelait autrefois la patrie (
terre
des pères) puis la nation (lieu de naissance, puis le groupe d’étudia
15
avec n’importe quel type qui foutra ce régime par
terre
». Le jeu des falsifications s’élève ici à la préciosité et vaut d’ê
16
es Doriot et Darquier de Pellepoix : recours à la
Terre
, rappel de la Race, éloge du Corps, haine de l’Argent, amour de la Na
17
me, une « tentation fasciste » plane sur la douce
terre
de France48). (La note renvoie à Esprit , janvier 1934, p. 533.) Ma
18
qu’il remplace « le monde entier » par « la douce
terre
de France », qui modifie radicalement la coloration du texte. (Bien e
19
plus le « monde entier » (déjà devenu « la douce
terre
de France » chez Lévy), mais Mounier lui-même, lequel n’est plus anti
20
» et qu’« il ne reconnaît aucun supérieur sur ses
terres
» : ce rejet de la suprématie de l’empereur et de celle du pape, symb
21
istait à ne reconnaître « aucun supérieur sur ses
terres
», ni empire ni papauté. Elle se double, en 1793, d’une souveraineté
22
esprits, dans les usines, dans les mers, sous la
terre
et dans les cieux. Mais loin de conférer au président le pouvoir le p
23
ous peu l’extinction de toute vie indigène sur la
terre
, végétale, animale et humaine. 10. L’obstacle majeur à toute fédér
24
u deux mois, aboutirait à la fin de toute vie sur
terre
, ne serait-ce que par l’apparition de ce qu’on appelle « l’hiver nucl