1
s nous sentons certains d’entrer dans l’ère de la
Terre
unifiée, qui était le but de nos travaux diserts. Nous y touchons, Me
2
perdu le droit d’être étrangers sur aucune de nos
terres
, dans aucun de nos peuples, comme à rien de ce qui forme l’héritage d
3
sens ancien du mot, d’attachement instinctif à sa
terre
infinie, à son peuple mystique, à la misère du siècle. Il n’a pas vou
4
rd’hui, la civilisation née en Europe recouvre la
terre
entière ; elle n’est pas à la merci des forces extérieures qui pourra