1 moment.) Tristan et la princesse voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont

2 t simple occasion de s’enrichir, et d’annexer des terres données en dot ou espérées en héritage. Quand l’« affaire » tournait

3 nt file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile,

4 rt. Vie aventureuse, très semblable à celle de la terre , mais épurée, et dont certains héros pouvaient revenir, sous d’autres

5 la nostalgie du héros celte revenu du Ciel sur la terre , et qui se souvient de l’île des immortels. Mais cet élan est sans ce

6 e la vie. « Dieu est au ciel, et toi tu es sur la terre . » Et ton sort se joue ici-bas. Le péché n’est pas d’être né, mais d’

7 procède généralement de haut en bas — de ciel en terre  — ce qui réfute les conclusions modernes déduites du préjugé matérial

8 barque sur une barque magique » et parvient à une terre merveilleuse. « Il se lasse à la fin de ce séjour, veut revenir. C’es

9 ni prochain ni devoirs, ni liens qui tiennent, ni terre ni ciel : on est seul avec tout ce que l’on aime. « Nous avons perdu

10 reprendre sans cesse aux formes désirables de la terre , oublier, plaisanter follement, tout ardents de curiosité ; d’une mer

11 ent alors beaucoup plus étranger aux choses de la terre  » et passim ! 123. Il connaissait le roman et le cite plusieurs fois

12 op nombreux dans nos frontières, j’exige donc des terres nouvelles ! — et c’est la nouvelle passion. Ainsi toutes les tensions

13 Niederlage, littéralement : position de qui gît à terre , de qui est couché au-dessous (cf. l’expression « avoir le dessous »)

14 perte ! En lui opposant toutes les raisons de la terre , et les conseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui

15 onseils de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais tuer l

16 ’est ici-bas que notre sort se joue. C’est sur la terre qu’il faut aimer et recevoir le pardon. Au-delà, il n’y aura pas la N

17 ir que les amants courtois ne sont séparés sur la terre qu’en vertu de cet amour mystique qui les unit à la divinité ! Au con