1 les germes de ses maladies. Et tout cela, sur des terres plus fertiles, ou peut-être moins surveillées, a grandi hors de toute

2 us travailleurs et les plus inventifs de toute la terre , c’est-à-dire, du seul point de vue de la quantité, plus que la Russi

3 dans l’abstraction, et que j’idéalise les motifs terre à terre qui militent en faveur d’une union de l’Europe. On me dira qu

4 abstraction, et que j’idéalise les motifs terre à terre qui militent en faveur d’une union de l’Europe. On me dira que ces mo

5 , suivies de créations aventureuses, les réalités terre à terre et si médiocres par leurs dimensions, auxquelles on voudrait

6 s de créations aventureuses, les réalités terre à terre et si médiocres par leurs dimensions, auxquelles on voudrait la rédui

7 deux nés en Europe pour émigrer plus tard sur des terres vierges où leurs excès sont manifestes et menaçants, car leur conflit

8 r l’avenir. C’est le fédéralisme, qui veut que la Terre promise ne soit pour nous ni l’Amérique ni la Russie, mais cette viei

9 us ni l’Amérique ni la Russie, mais cette vieille terre à rajeunir, à libérer de ses cloisons, notre Europe à reconquérir — p

10 de le texte qu’on m’a remis. « L’Europe, c’est la terre des hommes continuellement en lutte avec eux-mêmes, c’est le lieu où

11 ouloir une union de l’Europe sont d’un ordre plus terre à terre, sont des questions de politique courante, ou des questions é

12 ne union de l’Europe sont d’un ordre plus terre à terre , sont des questions de politique courante, ou des questions économiqu

13 t qu’une péninsule de l’Asie. Si ce petit coin de terre n’en est pas moins, depuis plus de deux-mille ans, le foyer d’une pui