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grand intérêt, car en réalité, ce ne sont pas des
terres
que nous devons unir, mais des hommes, des hommes relevant d’un certa
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oduits d’une tradition. Ils ne naissent pas de la
terre
, mais d’autres hommes. Aux amateurs de géographie je réponds donc :
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ion, mais en tant qu’observation. L’Europe est la
terre
de la diversité, par excellence. Ce fait même, comme vous le voyez, n
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ions pas, c’est l’Europe qui a découvert toute la
terre
, alors qu’elle-même n’a jamais été découverte par d’autres peuples. E
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. Il intéresse l’avenir de tous les peuples de la
Terre
. Diffusion de la civilisation occidentale Si l’on cherche à se
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u’elle n’est pas loin de recouvrir l’ensemble des
terres
habitées, mais que la densité d’occidentalisation varie d’une manière
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ou ethniques, comment expliquerait-on que, sur la
terre
entière, les peuples les plus différents l’adoptent avec une telle fa
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mpose les étoiles et les plantes, les animaux, la
terre
, les océans, l’air que nous respirons, et nous. Poussés par une curio
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, ils découvrirent d’abord la surface de toute la
Terre
— alors qu’eux-mêmes n’avaient jamais été découverts par un autre peu
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iquement, fort peu de chose à vrai dire : 4 % des
terres
du globe, moins fertiles et moins riches en sous-sol que bien d’autre
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ses plus une culture. Si ce petit cap a dominé la
Terre
pendant des siècles, s’il en demeure aujourd’hui le musée et le plus
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culture, il vous reste un cap de l’Asie, 4 % des
terres
du globe… Tout cela n’est pas nouveau, mais on l’oublie souvent, nota
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nt. Car s’il est vrai que l’Europe a découvert la
Terre
, puis toute l’histoire de l’Homme et de ses créations, et qu’elle en
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le foyer rayonnant de cette culture que toute la
Terre
imite, ce n’est pas du Musée d’abord, mais du Laboratoire qu’il faut