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ar et du Danube pour aller défricher les fertiles
terres
noires de l’Ukraine, les rives de la Baltique et de la mer du Nord, e
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. Ils avancent en brûlant la forêt, cultivent les
terres
enrichies par la cendre, les abandonnent bientôt, brûlent d’autres pa
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ns sa chambre à l’étage supérieur, crut voir deux
terres
se disputer à son sujet, la terre d’Asie et la terre d’en face ; leur
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crut voir deux terres se disputer à son sujet, la
terre
d’Asie et la terre d’en face ; leur aspect était celui de femmes. L’u
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es se disputer à son sujet, la terre d’Asie et la
terre
d’en face ; leur aspect était celui de femmes. L’une avait les traits
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e était entrée dans le lit du dieu qui ébranle la
terre
; Libye l’avait donnée à la toute belle Téléphaassa, qui était de son
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, qu’il gouvernait, le dieu sonore qui ébranle la
terre
guidait en personne son frère sur la route marine ; autour de lui s’a
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ids de la jeune fille. Déjà elle était loin de la
terre
natale ; il n’y avait en vue ni rivage battu par les flots ni montagn
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s dieux. Les dauphins marins ne circulent pas sur
terre
, ni les taureaux sur la mer ; toi, tu bondis sans peur et sur terre e
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eaux sur la mer ; toi, tu bondis sans peur et sur
terre
et sur mer, et tes sabots te tiennent lieu de rames. Bientôt, je pens
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ouverain de la mer blanchissante, ébranleur de la
terre
, montre-toi pour moi bienveillant, toi qu’il me semble voir diriger c
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s, la véritable signification du mythe ; ces deux
terres
qui se disputent Europe, « la terre d’Asie et la terre d’en face », l
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e ; ces deux terres qui se disputent Europe, « la
terre
d’Asie et la terre d’en face », le continent déjà civilisé et celui q
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qui se disputent Europe, « la terre d’Asie et la
terre
d’en face », le continent déjà civilisé et celui qui n’a pas de nom,
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la Grèce, dont le sort l’avait lotie, l’autre la
terre
barbare. Il me semblait qu’elles menaient quelque querelle et que mon
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à Zeus lui-même, non plus à Vénus : Et quand la
terre
, au loin, se fut toute perdue Quand le silencieux espace Ouranien Ray
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i sortiront des Enfants héroïques Qui régiront la
terre
et deviendront des Dieux ! Entre le mythe primitif et la réalité —
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anthéisme primitif et informe : l’adoration de la
terre
et de la fécondité, la Grande Mère où tout est un et divers à la fois
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e et l’Europe. Cette tripartition mythique de la
terre
va dominer toute la géographie du Moyen Âge. Elle se fonde sur les ch
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reçurent de leur père l’ordre de remplir toute la
terre
de leur postérité. Ils ne furent pas traités également, car Sem et Ja
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e, s’étaient lancés pareillement à la quête d’une
Terre
occidentale, qu’en leur langue, ils devaient nommer la « terre du Cou
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tale, qu’en leur langue, ils devaient nommer la «
terre
du Couchant », Eréba. Ils tenaient de leurs maîtres égyptiens la noti
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éotie, en Illyrie, Cadmos avait marché vers cette
terre
du soir, — Hespéria, dirent les Grecs. Amentit-Europe-Hespérie, troi
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urope-Hespérie, trois noms équivalents pour cette
Terre
du Couchant, que les gens de Tyr-Sidon se figuraient sans doute à l’o
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égitime, lequel a été propre de cette portion des
terres
, laquelle Noé donna à Japhet pour sa demeure. Car combien que la post
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déclin, il n’y avait qu’à le faire descendre sous
terre
, dans l’obscurité absolue des fantômes humains et des condamnations é
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sens dérivé : les profondeurs ténébreuses sous la
terre
, le « fond des morts », comme dit Hésiode. Erebos a pour origine le v
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e era, qui est un terme poétique pour désigner la
terre
. Il est donc possible qu’il soit venu, directement ou indirectement,
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a souvent dit que l’Europe était à l’égard de la
terre
ce que la Grèce fut jadis à l’égard de l’Europe. La Grèce a le sol mé
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540 av. J.-C., avait écrit une Description de la
Terre
en deux livres, dont l’un consacré à l’Europe, l’autre à l’Asie. Que
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crate : Je suis de plus en plus convaincu que la
terre
est très vaste et que nous qui habitons du Phase aux Colonnes d’Hercu
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ce qui est relatif à toutes les productions de la
terre
. Tous les caractères des différens phénomènes sont donc communément p
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avoure. Ajoutez à cela que sous de tels hommes la
terre
reste encore sans culture, autant par l’inertie de leur tempérament,
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tés. Cependant, Hérodote se demande pourquoi la
Terre
étant une on lui donne trois noms différents, qui sont des noms de fe
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vaient reçu leurs noms respectifs ; l’œcoumène ou
terre
habitée n’avait pas encore été partagée en trois continents distincts
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par les mains mêmes du Créateur du ciel et de la
terre
, et d’avoir été honorée de la naissance et de la présence du Sauveur
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irait les diversités politiques des peuples de la
Terre
, voulues et garanties par les dieux païens ! Pour cet ancêtre du nati
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ar Anaximandre (viie siècle av. J.-C.) divise la
Terre
en deux moitiés : à l’est de l’Hellespont, l’Asie, qui n’est encore q
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peut avertir, éclairer les âmes ; lui gouverne la
terre
. Mais survient un troisième larron : le roi de France, qui se dira pl
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s mots : ainsi Dieu, le ciel, l’amour, la mer, la
terre
, il est, il vit, il meurt, il aime, et presque tout le reste. Les peu
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ssé à Édouard Ier, sur les moyens de recouvrer la
Terre
sainte65. … Il est permis de penser que Dubois tenait assez peu au bu
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indiquer les meilleurs procédés pour conquérir la
Terre
sainte, Dubois expose un vaste plan de réformes, qui consiste à détru
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te de la chrétienté et marchera sur Jérusalem par
terre
, comme le firent Charlemagne et Frédéric Barberousse. Philippe ne par
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de la croisade. Les croisés ne demeureront pas en
Terre
sainte s’ils apprennent que leur pays est en danger de guerre. Cepend
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société internationale en vue de la reprise de la
Terre
sainte. Il faut surtout organiser des moyens judiciaires afin de régl
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t plus redoutée ; elle sera plus avantageuse à la
Terre
sainte ; elle nuira moins à tous les parents et amis des condamnés.
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endra d’attaquer l’ennemi, avec quelles forces de
terre
et de mer il faudra faire la guerre, quels chefs militaires, quelles
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e d’employer, à quel endroit toutes les armées de
terre
devront se réunir pour poursuivre leur marche contre les Turcs. Mais
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porter les titres de souverain des Indes et de la
Terre
ferme de la mer Océane, et de dominateur de l’Afrique et de l’Asie. E
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royaumes, empires, tyrannies ou républiques de la
terre
sont réunis par un lien qui n’est pas autre chose que l’autorité de l
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il est proche des plus signalées Monarchies de la
terre
, de celles du pape, des deux empereurs, et du roy d’Hespagne. Il n’es
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les deux mers », labourage et « trafic » accrus,
terres
en friches et lieux marécageux à cultiver. Et déjà il s’écriait : Qu
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s, ou d’autres diversitez semblables, comme si la
terre
estoit, ainsi qu’elle est véritablement, une cité commune à tous ? V
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é (Zach. 14, 11) ; c’est-à-dire à ce que toute la
terre
dans sa plénitude soit consacrée à Dieu ; qu’il n’y ait pas de scanda
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presque exactement, en considérant le revenu des
terres
, les exportations, les importations, les rôles des contributions, et
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çât jamais Et qu’enfin l’équité fît régner sur la
terre
L’impraticable paix de l’abbé de Saint-Pierre. Frédéric II, dans un
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Espagne : l’Europe seule étoit plus éparse que la
terre
entière ne l’est aujourd’hui. » 120. Vico entend : la confédération
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agné à être séparés de nous par un long espace de
terre
, comme les Grecs et les Romains à être séparés par une longue suite d
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permis de se répandre dans une grande étendue de
terre
à la fois, et que quelque fatalité lui prescrit des bornes assez étro
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ssait des hommes pour le travail des mines et des
terres
de l’Amérique. L’Europe est parvenue à un si haut degré de puissance,
61
ge isolé et brut (s’il y a de tels animaux sur la
terre
, ce dont je doute fort), que fait-il du matin au soir, que de pervert
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ation des nations et des sociétés qui habitent la
terre
représente l’unique société générale possible pour le genre humain, l
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res vivants dont s’enorgueillissait la face de la
terre
? Hélas ! je l’ai parcourue, cette terre ravagée ! J’ai visité les li
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ce de la terre ? Hélas ! je l’ai parcourue, cette
terre
ravagée ! J’ai visité les lieux qui furent le théâtre de tant de sple
65
e jusqu’aux plus récens de l’Europe, ce nom d’une
terre
natale réveilla en moi le sentiment de la patrie ; et tournant vers e
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nts ont su conserver sur les autres peuples de la
terre
de par un perfectionnement des facultés naturelles de l’homme toujour
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chasseurs. Il n’y aura plus de déserts ; toute la
terre
sera un jardin. L’Orient et l’Occident s’embrasseront au champ de la
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ale, absolue, suprême. Or, si je rencontre sur la
terre
une volonté particulière qui croise l’instinct universel, je m’y oppo
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qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la
terre
. Mais comme, d’après l’idée qu’ils se font du droit des gens, ils ne
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ui ruinent l’Europe, cette « vingtième partie des
terres
fermes de la planète » qui n’a dû qu’à sa culture de dominer le monde
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er l’idéal de la paix éternelle, pouvoir régir la
terre
entière. Un système fédératif conçu jusque dans ses moindres détails,
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cessera véritablement sur toute la surface de la
Terre
que le jour où tous les États pourront s’unir en un seul ; ce qui est
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Révolution croyaient unir tous les peuples de la
terre
en une grande fédération cosmopolite, et ils n’ont réussi qu’à allume
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été acquise : loin d’avoir affermi la paix sur la
terre
, elle s’est mise au service de la guerre, lui fournissant maintes occ
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éloignée de nous ; la guerre est notre destin sur
terre
, et si des changements et révolutions extraordinaires ne viennent pas
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sort, elle sera longtemps encore notre destin sur
terre
. On ne saurait crier assez fort et assez souvent cette vérité dans le
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étuelle établie parmi les peuples, aucun État sur
terre
n’aura le moindre intérêt à ne pas communiquer à un autre ses découve
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seule vraie patrie que cette Europe qui est leur
terre
commune, et d’une extrémité à l’autre du continent, ils ne poursuiven
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lle est allée chercher sur toute la surface de la
Terre
, a su se donner une forme idéale que seuls le savant perçoit et l’hom
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mme les mineurs, ils creusent jusqu’au fond de la
terre
, pour pénétrer, au sein de l’éternelle nuit, les mystères du monde té
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amour, que je vive encore cinquante ans sur cette
terre
.179 L’Amérique, aux yeux du vieux Goethe, devient le symbole du mon
82
e comtés, étaient encore à vendre aux limites des
terres
habitées. Le père de notre vieillard s’y était fait lui-même un établ
83
brillante époque, que celle où l’Europe était une
terre
chrétienne, où une seule et unique chrétienté habitait ce continent h
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elle, le siège sacré du gouvernement divin sur la
terre
. Des princes soumettaient leurs différends au Père de la chrétienté,
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rassurer les peuples et installer visiblement sur
terre
la chrétienté dans sa neuve splendeur, en lui restituant son ancienne
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demment à voir le Royaume des cieux s’établir sur
terre
, et y entrer de bon gré, et entonner des hymnes sacrées ? Il faut que
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tort de désespérer de l’Europe, car elle reste la
terre
décisive, si l’on pense que c’est ici, étant donné l’organisation mê
88
ue le bien lutte avec le plus de véhémence sur la
terre
avec le mal, et que c’est donc ici que doit être scellé le sort de l’
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t quelque chose de tout relatif ; car, quoique la
Terre
soit une sphère, l’Histoire ne décrit pourtant pas un cercle autour d
90
le qui ait jamais fleuri et dont le retour sur la
terre
est l’objet de vœux éternels. La seconde période est celle où ce qui
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ien imaginer au monde de plus faux, car sur notre
Terre
où nulle feuille n’est pareille à une autre et où l’on ne peut mener
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de religion ; il n’y aura qu’une seule patrie, la
terre
, et qu’une seule foi, le bonheur sur terre… Comment se terminera ce s
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ie, la terre, et qu’une seule foi, le bonheur sur
terre
… Comment se terminera ce spectacle ? Je ne sais pas, mais je pense qu
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ion catholique avait suivi un progrès continu, la
terre
aurait fini par être le paradis de l’homme, et Dieu a voulu que la te
95
tre le paradis de l’homme, et Dieu a voulu que la
terre
fût une vallée de larmes. Dieu aurait été socialiste. Alors qu’eût ét
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où il est : Dieu dans le ciel, et Proudhon sur la
terre
; Proudhon cherchant toujours, sans le rencontrer jamais, un paradis
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ces siècles de sauvagerie, ait été différente des
terres
qui sont restées telles quelles jusqu’à nos jours. L’Européen trouva
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gère et la variété autochtone se formèrent sur la
terre
d’Europe, et non en Asie. Les principales langues se répandirent en d
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fférence aux vérités d’un ordre plus élevé que la
terre
, seules capables de la transformer. Elle est dans l’esprit de nationa
100
queville (1805-1859) : Il y a aujourd’hui sur la
terre
deux grands peuples qui, partis de points différents, semblent s’avan
101
e l’esprit, telle qu’il n’y en eut pas encore sur
terre
: et avec un arc si fortement tendu il est possible, dès lors, de tir
102
Octobre 1908. — L’Europe est, par excellence, la
terre
des cataclysmes guerriers. Les pacifistes sont ou des imbéciles qui i
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mal. Pourquoi l’Europe est-elle par excellence la
terre
des cataclysmes guerriers ? Parce qu’elle est habitée par une quantit
104
magnacs et aux Bourguignons que de prendre sur la
terre
le grand rôle que les Romains surent prendre et tenir pendant des siè
105
e leurs critiques. Nous savions bien que toute la
terre
apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose.
106
d’années sur lesquelles s’étend l’histoire de la
terre
, les six-mille ans de la tradition humaine sont comme les premières s
107
déjà révolues. Mais à considérer l’histoire de la
terre
, nous prenons conscience de ce que notre entreprise est encore très l
108
chose qu’un épisode passager de l’histoire de la
terre
; l’homme pourrait disparaître et son histoire faire place à une pure
109
ces énergétiques, le refroidissement mortel de la
Terre
, ou air contraire la domination par la technique du mécanisme terrest
110
e de la transformation la plus inouïe de toute la
Terre
et du temps de l’Histoire ? Sommes-nous devant le crépuscule d’une nu
111
? Surgissons-nous précisément pour envahir cette
terre
historique du Couchant ? Le pays du Soir vient-il en premier ? Sera-t
112
simultanées, là est l’Europe. Toute race et toute
terre
qui a été successivement romanisée, christianisée et soumise, quant à
113
ail et de l’effort qui incite Hercule à purger la
terre
de ses tyrans, de ses brigands et de ses monstres, à dompter les fleu
114
’Épicure : « Alors que l’humanité traînait sur la
terre
une vie abjecte, écrasée sous le poids d’une religion dont le visage
115
à Horatio, alors l’Europe n’existe plus, — et ses
terres
ne sont plus que champ de bataille abandonné aux puissances technique
116
passage où l’Église, durant son pèlerinage sur la
terre
, chemine en compagnie de la diversité humaine qu’elle accepte, qu’ell
117
au temps, la foi unique soit devenue très tôt la
terre
nourricière des plus rudes divergences et oppositions, ce fait ne doi
118
s mon verre »… La qualité, la variété, le coin de
terre
, la vigne, le cru, la saison, autant de concepts qui poussent comme d
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transforme, pour notre commodité, le visage de la
terre
. Jérôme Cardan, au grand scandale d’un humaniste tel que Scaliger, cl
120
Prométhée qui, ayant formé l’homme du limon de la
terre
, déroba le feu du ciel pour animer sa créature et qui, par cela même,
121
façon mystérieuse Antée, fils de Neptune et de la
Terre
, qui pour se régénérer et redoubler ses forces recherche la Terre, la
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se régénérer et redoubler ses forces recherche la
Terre
, la Nature — mais l’Homme d’Europe ne s’abandonne pas à la Nature : i
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est notre continent qui a fait germer partout sur
terre
la volonté de ne pas accepter la tyrannie des circonstances et du pas
124
u, nous avons fait des moissons : qui donc sur la
terre
, sinon nous, a inventé la fertilité du saint et du héros ? Le héros a
125
s : 1° Ce sont les Européens qui ont découvert la
Terre
entière, alors qu’aucun autre peuple n’a songé à les découvrir. Ce so
126
n expansion, le monde hellénistique reflua sur la
terre
maternelle et en fit un nouveau facteur historique, fragment désormai
127
s qualifiés de la spiritualité intellectuelle sur
terre
, nous ne serions pas les mains de Dieu, si chez nous l’accent signifi
128
vit pas le principe de l’Esprit dominateur de la
Terre
. En lui-même, l’esprit est terrestrement impuissant ; même la spiritu
129
pe, l’esprit est essentiellement dominateur de la
terre
. Grâce à lui l’Européen peut avoir sur terre une action historique. I
130
e la terre. Grâce à lui l’Européen peut avoir sur
terre
une action historique. Il représente une synthèse d’esprit, d’âme et
131
lle, — de même la souveraineté de l’esprit sur la
terre
est liée à ce que l’accent significatif repose sur l’individu et sur
132
n être (comme les quatre éléments d’Aristote : la
terre
et l’air, l’eau et le feu) les constituants d’une culture vivante, et
133
éparent. Elle prendrait la tête des nations de la
terre
parce qu’elle serait seule à leur fournir des principes d’ordre ratio
134
cène, et ferait de l’Europe, en peu d’années, une
terre
aussi libre et heureuse que celle de la Suisse d’aujourd’hui. Quel es