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st-à-dire le premier dialogue entre l’homme et la
Terre
interrogée — labourée, fécondée, cultivée —, l’initiative fut assumée
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tie : il n’est plus guère que les tremblements de
terre
et les typhons que nous ayons encore du mal à contrôler — mais cela v
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n’y aura peut-être plus de vie à la surface de la
Terre
. Mais qu’elle durera sans nous, au-delà de toute vie. Et en même temp
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ace et des ressources dont l’homme dispose sur la
Terre
. 135 millions de kilomètres carrés de terres vierges émergées, c’est
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ur la Terre. 135 millions de kilomètres carrés de
terres
vierges émergées, c’est beaucoup, direz-vous, mais ce n’est pas élast
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dense et toujours plus dévorante. L’ensemble des
terres
arables et des terres à bâtir est limité une fois pour toutes, et il
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s dévorante. L’ensemble des terres arables et des
terres
à bâtir est limité une fois pour toutes, et il n’offre à la boulimie
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forêts, de l’uranium, de l’air et de l’eau sur la
Terre
, et partout le calcul prospectif nous révèle les limites des ressourc