1 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Un monde fini »
1 st-à-dire le premier dialogue entre l’homme et la Terre interrogée — labourée, fécondée, cultivée —, l’initiative fut assumée
2 tie : il n’est plus guère que les tremblements de terre et les typhons que nous ayons encore du mal à contrôler — mais cela v
3 n’y aura peut-être plus de vie à la surface de la Terre . Mais qu’elle durera sans nous, au-delà de toute vie. Et en même temp
4 ace et des ressources dont l’homme dispose sur la Terre . 135 millions de kilomètres carrés de terres vierges émergées, c’est
5 ur la Terre. 135 millions de kilomètres carrés de terres vierges émergées, c’est beaucoup, direz-vous, mais ce n’est pas élast
6 dense et toujours plus dévorante. L’ensemble des terres arables et des terres à bâtir est limité une fois pour toutes, et il
7 s dévorante. L’ensemble des terres arables et des terres à bâtir est limité une fois pour toutes, et il n’offre à la boulimie
8 forêts, de l’uranium, de l’air et de l’eau sur la Terre , et partout le calcul prospectif nous révèle les limites des ressourc
2 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « L’homme se voit contraint de choisir librement son avenir »
9 ajoute-t-il, « c’est l’avenir à long terme de la Terre que nous devons prendre pour guide de l’action présente. » Ceci revie