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nt tout entier, et par lui tous les peuples de la
Terre
qui copient notre civilisation industrielle, scientifico-technique, q
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t pas ma vocation, que toutes les religions de la
Terre
l’ont condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos Béatitudes, et
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si bien qu’il peut relier des hommes de toute la
terre
, la vie communautaire concrète est proximiste, c’est-à-dire communale
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e mondiale réside dans une mauvaise gestion de la
Terre
par l’homme. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure la Terre. Il
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e. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure la
Terre
. Il épuise les ressources naturelles et viole toutes les limites écol
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Villon).] L’homme est en train de faire mourir la
Terre
sensible. C’est une sombre histoire, très lente en ses débuts, mais t
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globe. Ce sont eux, et eux seuls, qui ont géré la
Terre
, qui s’en sont octroyé le droit. Eux seuls en avaient les moyens. Ils
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État-nation est imitée par tous les peuples de la
Terre
qui peut la rendre moins absurde en soi. Au-delà de l’État-nation, il
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erselle provoquée par sa déplorable gestion de la
Terre
depuis un siècle et demi, l’État-nation souverain ne peut plus se dér
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répondre piteusement : « Suis-je le gardien de la
Terre
? », nous en tirons la conclusion qu’il a forfait à sa mission. Mais
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pouvoir exclusif de gestion de son morceau de la
Terre
, et dès lors les calculs les plus catastrophiques ont seuls chance d’
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ous dans sa chute, puisqu’il règne sur toutes les
terres
et une partie sans cesse croissante des mers. Il ne saurait être ques
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ollution ; meilleurs rapports entre l’homme et sa
terre
, l’homme et sa ville, l’homme et les groupes, réajustés dans le concr
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la compare à la pilule contre les tremblements de
terre
qu’un charlatan vendait dans les rues de Lisbonne, selon Voltaire. Je
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ui rappellerai, en privé, que les tremblements de
terre
ne dépendent pas de l’homme, tandis que les États-nations sont nés de