1 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
1 nt tout entier, et par lui tous les peuples de la Terre qui copient notre civilisation industrielle, scientifico-technique, q
2 t pas ma vocation, que toutes les religions de la Terre l’ont condamnée : « Heureux les pauvres », disent nos Béatitudes, et
3 si bien qu’il peut relier des hommes de toute la terre , la vie communautaire concrète est proximiste, c’est-à-dire communale
2 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
4 e mondiale réside dans une mauvaise gestion de la Terre par l’homme. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure la Terre. Il
5 e. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure la Terre . Il épuise les ressources naturelles et viole toutes les limites écol
6 Villon).] L’homme est en train de faire mourir la Terre sensible. C’est une sombre histoire, très lente en ses débuts, mais t
7 globe. Ce sont eux, et eux seuls, qui ont géré la Terre , qui s’en sont octroyé le droit. Eux seuls en avaient les moyens. Ils
8 État-nation est imitée par tous les peuples de la Terre qui peut la rendre moins absurde en soi. Au-delà de l’État-nation, il
9 erselle provoquée par sa déplorable gestion de la Terre depuis un siècle et demi, l’État-nation souverain ne peut plus se dér
10 répondre piteusement : « Suis-je le gardien de la Terre  ? », nous en tirons la conclusion qu’il a forfait à sa mission. Mais
11 pouvoir exclusif de gestion de son morceau de la Terre , et dès lors les calculs les plus catastrophiques ont seuls chance d’
12 ous dans sa chute, puisqu’il règne sur toutes les terres et une partie sans cesse croissante des mers. Il ne saurait être ques
13 ollution ; meilleurs rapports entre l’homme et sa terre , l’homme et sa ville, l’homme et les groupes, réajustés dans le concr
14 la compare à la pilule contre les tremblements de terre qu’un charlatan vendait dans les rues de Lisbonne, selon Voltaire. Je
15 ui rappellerai, en privé, que les tremblements de terre ne dépendent pas de l’homme, tandis que les États-nations sont nés de