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uand nos richesses s’accroissent aux dépens de la
Terre
, de ses sols, de ses eaux, de son air, Terre qui peut-être un jour as
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e la Terre, de ses sols, de ses eaux, de son air,
Terre
qui peut-être un jour assez prochain refusera de nourrir l’humanité q
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r l’humanité qui l’exploite et qui l’empoisonne ;
Terre
si belle encore vue de l’espace, bleue, verte et blanche dans le noir
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st-à-dire le premier dialogue entre l’homme et la
Terre
interrogée — labourée, fécondée, cultivée — l’initiative fut assumée
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uvernement dépassera-t-elle la masse totale de la
Terre
? Dans le même style de simulation logique, séparée du vivant et déda
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nérations, Tokyo et Manhattan recouvrant toute la
Terre
, sans forêts, ni jardins, ni déserts : il est donc entendu que cela n
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celle d’une prolifération cancéreuse — tuerait la
Terre
longtemps avant de l’avoir couverte de chair humaine (vive ou morte),
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ins paraît sûre et certaine : le peuplement de la
Terre
sera doublé vers l’an 2000, non par le fait de l’Occident en régressi
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siècle, engloberait toute l’humanité et toute la
Terre
, inclus ses restes de campagnes et ses déserts, dans un unique réseau
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ale Mais laissons là l’impensable utopie d’une
Terre
sans paysages, dont tous les sites auraient été rongés par le béton.
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gradation urbaine de l’homme et dégradation de la
Terre
par la pollution et l’épuisement des ressources non renouvelables ; l
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ble la circulation matérielle entre l’homme et la
terre
, en rendant de plus en plus difficile la restitution de ses éléments
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les deux sources d’où jaillit toute richesse : la
terre
et le travailleur17. Une fois de plus, le prophète n’a pas été suivi
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fait aussi nécessairement à l’agriculteur et à sa
terre
, par une seule et même procédure d’exploitation, ruinant aussi « la c
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i « la circulation matérielle entre l’homme et la
terre
» dans les campagnes. Je trouve un raisonnement de même forme chez le
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suppute simplement les quantités de métaux que la
Terre
contient, et les transforme en minerai. Cette opération magique lui p
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régulier. Mais il y a plus. Toutes les eaux de la
terre
vont à la mer, et lui apportent fidèlement nos déchets, dont 100 000
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a société occidentale (que tous les peuples de la
Terre
copient, même et surtout quand ils l’insultent) et notamment les vrai
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az de marée universel qui engloutirait d’immenses
terres
arables, les vignobles, et presque toutes les plus grandes villes du
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ui sont, dans l’ordre matériel, les limites de la
Terre
et de ses ressources non renouvelables, dans l’ordre moral et spiritu
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nt, parce qu’il n’y a pas assez de pétrole sur la
terre
, sous la terre, et sous les océans, pour faire marcher cinq fois ou d
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n’y a pas assez de pétrole sur la terre, sous la
terre
, et sous les océans, pour faire marcher cinq fois ou dix fois plus d’
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nné par la nature, et il n’y a plus, sur toute la
Terre
, de quoi le refaire. Il est devenu banal d’observer que les inventio
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s si importants sur le bilan des ressources de la
Terre
, sur l’environnement, sur la santé physique et mentale, et sur la pol
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que cela se passait auparavant. Il les façonne de
terre
glaise et, pour leur insuffler une âme, vole par ruse le feu de l’Oly
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s les deux sont chassés du Jardin, exilés sur une
terre
« au sol maudit à cause d’eux », à cause de leur péché contre l’ordre
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gent de dénoncer les dangers que fait courir à la
Terre
vivante, donc aussi à l’humanité qui vit en symbiose avec elle, une c
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les Nations unies que son culte a gagné toute la
Terre
en peu d’années, suivant de près la progression épidémique du modèle
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es contribuables et de l’environnement global. La
Terre
est devenue trop petite, trop peuplée et trop bien quadrillée par les
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ne croissance démographique uniforme sur toute la
Terre
. C’est justement ce qui ne va pas se passer. Comment l’Europe peupler
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millions d’Américains, il faudrait extraire de la
Terre
beaucoup plus de métaux qu’elle n’en contient à la seule exception du
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ur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la
Terre
et l’assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, sur les oi
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ux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la
Terre
», Genèse X, 27-28. 29. Voir infra « Première histoire de fous : l’a
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ara Ward et René Dubos, Nous n’avons qu’une seule
Terre
, Paris, Denoël, 1972, p. 105. 37. B. de Jouvenel, Arcadie, Paris, 19
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des conceptions de l’homme et de son rôle sur la
Terre
qui nous animent en vérité. Non pas que nos idées de l’homme et de se
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pour pouvoir empoisonner toute l’eau douce de la
Terre
… Une fois solidifiés, il faut mettre ces déchets quelque part, ce qui
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n’y ait, pour des millénaires, ni tremblements de
terre
ni explosions de bombes, et que les générations futures surveillent s
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les risques les plus probables : tremblements de
terre
, attentats terroristes, grèves dans les usines de retraitement, accès
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couche d’ozone qui protège tout ce qui vit sur la
terre
contre les rayons ultraviolets ? Votre pari — dis-je aux promoteurs
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posées face à la vie, au destin de l’homme sur la
Terre
; il y a deux morales incompatibles en théorie, si elles sont parfois
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ara Ward et René Dubos, Nous n’avons qu’une seule
Terre
, op. cit. 43. Gordon Rattray Taylor, Le Jugement dernier, New York
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20 à 30 km2 suffiraient. 54. Cf. Les Amis de la
Terre
, L’Escroquerie nucléaire, Stock, Paris, 1975, p. 319. 55. Selon Le M
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sécurité. L’homme est en train de faire mourir la
Terre
sensible. C’est une sombre histoire très lente en ses débuts, mais to
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riode. Ce sont eux, et eux seuls, qui ont géré la
Terre
. Qui s’en sont octroyé le droit. Eux seuls qui en avaient les moyens.
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-nation a consisté à se rendre propriétaire de la
Terre
dont il n’était au mieux que l’usufruitier. C’est cette propriété, au
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nescens (ne reconnaissant aucun supérieur sur ses
terres
) selon la formule des légistes de Philippe le Bel. Comment pourrait-i
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iverselle provoquée par la mauvaise gestion de la
Terre
depuis plus de cent ans, quand nous lui demandons aujourd’hui : « Qu’
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répondre piteusement : « Suis-je le gardien de la
Terre
? » sans qu’on en tire la conclusion qu’il a forfait à la mission qu’
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crise qui résulte de cette mauvaise gestion de la
Terre
, nous tenons donc un responsable incontesté, l’État-nation tel que no
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les mauvais Européens, puis répandu sur toute la
Terre
. Voilà qui n’est plus à prouver, mais qu’il reste utile d’illustrer p
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présente, en effet, ce que les États feront de la
Terre
si on leur en laisse plus longtemps la gestion : ni air, ni eau, ni a
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ntions au pouvoir exclusif d’administration de la
Terre
, et dès lors les calculs les plus catastrophiques ont seuls chance de
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at-nation, sauf attester qu’il a très mal géré la
Terre
? Quel pouvoir existant lui opposer, qui ne soit pas de même nature q
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aux Français de le faire savoir. En attendant, la
Terre
entière copie les plus brillantes aberrations de leurs théoriciens po
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te ultima ratio de toutes ses exactions contre la
terre
qu’il dit sacrée mais qu’il dévaste, et contre tous les citoyens, qu’
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le lieu de ce contact direct avec la chair et la
terre
qui est nécessaire à l’homme. » (Alexandre Marc, dans L’Ordre nouvea
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faute de candidature à une nouvelle gérance de la
Terre
, il peut faire encore beaucoup de mal, de plus en plus irréparable. F
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e. Il y a derrière elles, dans cette partie de la
Terre
et ce canton du temps qu’on appelle l’Europe, de grandes lumières et
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xe siècle : le désert qui s’étend au tiers de la
Terre
, la pollution du tiers des océans, l’empoisonnement des eaux potables
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ment paraissent de nouveaux cieux et une nouvelle
Terre
, et descend la nouvelle Jérusalem, la ville sainte où l’on ne voit pl
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pas sur l’esprit créateur. Et nous savons que la
Terre
ayant des dimensions finies, ses ressources seront épuisées dans des
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pie, dans les limites du destin de l’homme sur la
Terre
. Une seule chose est certaine, c’est la mort, non sa date. Mort de la
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certaine, c’est la mort, non sa date. Mort de la
Terre
et mort de chacun de nous. Une seule chose est imprévisible, par défi
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en 2050, les 20 milliards d’habitants couvrant la
Terre
jouiront (?) d’un revenu de 20 000 dollars par tête. Mais comment pou
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environnement ; — enfin, du sens d’habiter notre
Terre
, maison commune de l’humanité. Notre maison — qu’il s’agisse de fami
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elles et finalement toute vie demain sur toute la
Terre
. Il s’agit, au fait et au prendre, de l’expression à tous les degrés,
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ela, il faut être au moins deux. Si j’imagine une
Terre
où tous sont morts sauf moi, qui ai dès lors la faculté de ne plus vo
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ouvent, « commune » — mais dispersée sur toute la
Terre
, aussi longtemps que ses motivations, ses valeurs, ses finalités sero
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étranger que vient la menace mortelle pour votre
terre
. Elle vient d’un ennemi commun à vos voisins badois et alsaciens et à
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fera peut-être réfléchir les agresseurs de notre
terre
, de nos régions. Peut-être aussi, le Conseil fédéral. Je voudrais ici
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hère, couche d’ozone protectrice de la vie sur la
Terre
, certes plus rares, mais non moins vitaux), ils demandent l’intervent
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écidé un peuple à s’établir et à se fixer sur une
terre
où se trouvaient réunies toutes les ressources nécessaires à la vie.
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n par l’État des moyens de production : machines,
terres
, main-d’œuvre ; des mass médias et de tous les moyens d’information ;
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raineté qu’ils voulaient « sans limites sur leurs
terres
» ; enfin, une double erreur, de nouveau, sur l’Europe : d’une part e
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ur votre base, et d’avoir « les deux pieds sur la
terre
». Marcher résulte d’un déséquilibre en avant. Il vous faut accepter
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ional178 ; — qu’elle retient les jeunes gens à la
terre
, crée des foyers locaux de rayonnement ; — qu’elle permet ainsi à la
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, puisque sa forme est celle que dessinent sur la
Terre
des fonctions et besoins assumés tels qu’ils sont, ici et maintenant,
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ui flotte dans les airs prête à s’abattre sur nos
terres
comme nuée de sauterelles robotisées. L’État-nation, modèle copié par
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ible que la continuation de la vie humaine sur la
Terre
, pas davantage. Rien là d’inévitable, puisque, en fin de compte, tout
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’espace les océans, qui couvrent presque toute la
Terre
, et dans le temps les cent-mille ans qui viennent. Ne pas faire les r
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Monde sans l’œil de l’homme ? C’était si beau, la
Terre
de la Vie, bleue, verte et blanche dans le noir éternel… Mais sauver
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er ? Et venant d’où ? (À part les tremblements de
terre
.) Il nous faut donc vouloir que le meilleur gagne — en nous. Et il no
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es et religieuses quant au rôle de l’homme sur la
Terre
et quant à ses options de base : la puissance ou la liberté. Faire de