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, où l’on voit des anges mauvais descendre sur la
terre
— et c’est la première chute — pour s’y unir aux filles des hommes et
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à faire abus de notre liberté et des biens de la
terre
. Ni le diable ni l’homme pécheur ne peuvent réellement faire le mal,
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sont tes morts ? Religion du sang, religion de la
terre
et des morts, religion sanglante et mortelle, religion des choses vie
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tout, il n’a rien gagné. Car les religions de la
terre
sont religions de la mort. Vieille vérité théologique, que les malheu
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après la guerre et la victoire, les peuples de la
terre
vont s’éveiller dans un lendemain d’ivresse, une gueule de bois mondi
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e : elle était l’état d’exception proclamé sur la
terre
entière et dans tous les domaines de l’existence publique. Elle figur
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lampe qui me faisait mal aux yeux. Il la lance à
terre
et me fait une de ces scènes ! J’ai pleuré toute la nuit, sur un cana
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cial, et nuisible aux affaires ? Que le sel de la
terre
est malsain ? Et que la sagesse démocratique se résume dans une « tec
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tion. Le texte véritable ne dit pas « Paix sur la
terre
aux hommes de bonne volonté » mais « Paix sur la terre, et bonne volo
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aux hommes de bonne volonté » mais « Paix sur la
terre
, et bonne volonté (de Dieu) envers les hommes ». Ce qui est complètem
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ds pouvoirs vicariaux : « Ce que tu lieras sur la
terre
sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera déli
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lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la
terre
sera délié dans les cieux. » Mais voici qu’aussitôt après — au paragr
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s.) Reprenons ce récit trop mal connu. « Toute la
terre
avait une seule langue et les mêmes mots. » En somme tout allait bien
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s ne soyons pas dispersés sur la face de toute la
terre
. » Vous reconnaissez Satan à ce doute qui les prend, à ce besoin qu’i
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« l’Éternel les dispersa sur la face de toute la
terre
». Cette déconvenue mémorable est attribuée par le récit biblique à
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es surveillants, les transporteurs par eau et par
terre
. Et les corporations d’ouvriers. Les uns faisaient la brique qui leur
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ue de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses
terres
parce qu’on a découvert soudain que c’est « vital », puis justifier l
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nsez-vous triompher du mal immense qui envahit la
terre
? Le moindre mal sera-t-il plus fort que le mal même dans son éclat ?
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d’un fleuve, produit à la fin un amoncellement de
terre
qui le détourne. Je dis que nous pouvons participer à cette victoire
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victimes — ces « névrosés » qui sont le sel de la
Terre
! Très curieuse omission. — À l’époque où j’écrivais ce livre, on pa
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ujourd’hui, à l’Enfer cave centrale de la planète
Terre
, sinon celui qui pourrait croire encore au Dieu barbu de la Sixtine,