1
quand j’en ai eu connaissance, sous la forme d’un
texte
de 20 pages dactylographiées du professeur Forrester, du MIT, il y a
2
a Voix de l’Amérique parle aux Français. Mes deux
textes
quotidiens étaient lus par deux équipes d’« announcers » (le mot de «
3
dre nouveau », par A. Marc. À coup sûr, ces trois
textes
sont les plus explosifs du numéro (avec peut-être quelques pages de G
4
dications, NRF, décembre 1932.) ⁂ Tout, dans ces
textes
, annonce « l’Europe », j’entends la lutte pour la fédération de l’Eur
5
onnaliste. Nouvelle et fascinante illustration du
texte
capital cité plus haut9, qui concluait qu’une situation n’a de sens h
6
ttais à ce travail, nouveau pour moi : écrire des
textes
d’information et des commentaires politiques destinés à la France, di
7
(Gemeinden, Stätten, Orte, universitates dans le
texte
original) qui n’étaient nullement des États et ne se prétendaient nul
8
. « Notre complexe de culpabilité », CH, choix de
textes
, Berne, Chancellerie fédérale, 1975, p. 548-553.
9
gard de la CECA ? Relisant le précieux recueil de
textes
Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa vie, je trouve ces mots
10
lequel je m’étais amusé à collectionner tous les
textes
où s’exprimait une nostalgie de l’Europe, depuis Hésiode jusqu’à Jean
11
is Hésiode jusqu’à Jean Monnet… À relire tous ces
textes
, on a le sentiment très vif que, contrairement à ce que vous semblez
12
e à lui seul est éloquent : « Le péril Ford ». Ce
texte
, publié dans une revue protestante, tomba à l’époque dans le plus gra
13
s différentes. Je fais commenter à mes élèves des
textes
de Michel Debré et de Georges Marchais. Ce sont à peu près les mêmes,
14
sans précédent. En 1790, on traduisait encore les
textes
officiels de la Constituante en cinq langues « nationales », parmi le
15
ropre évolution ? Personnellement, je préfère mes
textes
plus poétiques, plus immédiats. Ceux réunis en 1968 sous le titre Jo
16
es et des chemises noires aux premiers rangs, des
textes
révolutionnaires sous mes yeux : cela m’a appris beaucoup de choses.
17
la précision dans le sentiment, non seulement mon
texte
, mais tout ce que j’ai pensé, arrière-pensé en l’écrivant et renoncé
18
. J. de Salis.) En revanche, recevant l’auteur du
texte
au Cercle de la Presse de Genève, en 1947, C. A. Loosli citant la « L
19
ation d’un régime d’union fédérale européenne. Le
texte
est présenté en 1930 à la Société des Nations. On peut y lire : S’un
20
laborer un Manifeste fédéraliste26 sur la base de
textes
français et italiens, notamment, dont les inspirateurs siègent à Mont
21
s 1957, au Capitole de Rome, les Six paraphent le
texte
des traités instituant le Marché commun et Euratom. Ces deux organism
22
nt un Conseil des ministres inattentif, lisant un
texte
inattendu, donc mal compris, et qu’on accepte à cause de cela seuleme
23
itique européenne, Robert Schuman a transformé un
texte
en acte et une épure en fait d’histoire. Qui est le vrai père ? Celui
24
onseil d’alors, Georges Bidault, recevant le même
texte
de l’équipe Monnet, « néglige de l’examiner avec toute l’attention qu
25
gard de la CECA ? Relisant le précieux recueil de
textes
Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa vie, je trouve ces mots
26
ir. » ad. « La nature du pouvoir », Le Pouvoir.
Textes
des XXVIe Rencontres internationales de Genève, Neuchâtel, La Baconni