1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 hagiographique est en réalité la paraphrase d’un texte du mystique Heinrich Suso : Mon Seigneur et mon Dieu, ôte de moi tou
2 ions. — Vous autres réformés, dit en substance le texte , vous en appelez toujours à cet ermite dont la doctrine se résume à c
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
3 éder, dans un ordre plus ou moins arbitraire, des textes souvent inconnus, et des morceaux de musique dont la signification re
4 eurs paraissent craindre la monotonie de ce vieux texte , et croient bien faire en y apportant quelques variantes personnelles
5 du style. Or justement, la valeur liturgique d’un texte réside dans son invariabilité. C’est grâce à cette invariabilité que
6 variabilité que le fidèle peut vraiment suivre le texte , dire en lui-même ses paroles, redécouvrir chaque fois leur sens touj
3 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
7 s sommes ? » Comme le précise une note finale, ce texte est issu « des chroniques lues à Radio-Genève les 30 octobre et 6 nov
4 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
8 uisse et l’Europe ». i. Voir la première note du texte « Europe unie et neutralité suisse ».
5 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
9 p. 5-29. Une note de la rédaction précise : « Ce texte est celui d’une conférence, prononcée à Neuchâtel en septembre 1966,