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ns dont le succès consiste, lorsqu’ils citent des
textes
, à donner l’impression que ces textes n’ont, en somme, aucun sens rel
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citent des textes, à donner l’impression que ces
textes
n’ont, en somme, aucun sens relativement à celui qui les cite, car al
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s gens-là voudraient bien nous faire croire qu’un
texte
est intéressant dans la mesure même où il est dépourvu de pittoresque
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écision savoureuse dans le rendu de l’esprit d’un
texte
, mais cela toujours grâce à des inventions poétiques jouant sur la le
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que plein de dangereuses merveilles. Le choix des
textes
me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulante. La plupa
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er défenseur de l’expériencev. Mais la beauté des
textes
cités fait pardonner bien volontiers cette erreur de classification35
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Paris, n° 281, février 1937, p. 294-296. ad. Ce
texte
de Paul Vaillant-Couturier est plus amplement commenté par Rougemont
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t ainsi de s’arrêter à la logique exotérique d’un
texte
, disons à son seul sens éthique. Penchant bien protestant, ou simplem
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tre à la suite de Nietzsche, et publie les grands
textes
des mystiques soufis, mais l’Iran et l’Arabie sont en pleine crise d’
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me ? — Il n’y a rien de semblable à l’âme.70 » Un
texte
zen chinois surenchérit : « Y a-t-il un enseignement à donner au peup
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ès que dans la pensée des sots », comme le dit un
texte
tibétain, la notion de Toi ne vaut pas mieux. « La morale bouddhique,
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mour n’a pas de douleur. » Si l’on s’en tient aux
textes
, la cause est entendue : l’Asie métaphysique ne connaît pas l’amour,
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spirituelle, et que la vie ne s’en tient pas aux
textes
. On ajoutera peut-être qu’on ne voit pas de raisons pour que l’Orient