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nce leur valeur originale. Kassner reprend un des
thèmes
essentiels du préromantisme allemand, l’opposition de l’antique et du
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Russie, n’est qu’une suite de méditations sur le
thème
du tout-ou-rien moral qui caractérise Kierkegaard. L’on y trouvera mo
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tifs » romantiques et de frissons anarchiques. Le
thème
commun, c’est sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on
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lleurs une équivoque foncière et qui porte sur le
thème
général du livre. Il est inquiétant de voir un esprit de cette qualit
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ntimentalisme. La préface de Cocteau joue sur les
thèmes
, inépuisables, du profil de plâtre, des boules de neige et du « diale
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r son corps et son âme par l’ordure, c’est un des
thèmes
favoris de notre temps. Mais combien, parmi nous, se sont fait déterr
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roprement religieux de Kierkegaard développent ce
thème
et l’illustrent de la façon la plus familière et directe, tandis que
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l’ouvrage, qui par ailleurs compose bien d’autres
thèmes
: celui des îles, celui de la patrie perdue que Bonaparte cherche à s
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paraît alors comme une série de variations sur le
thème
de la relativité dans l’espace et le temps. Tantôt géante et tantôt n
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déal d’une poésie pure, pourrait trouver dans les
thèmes
et les formes qui foisonnèrent au xvie siècle des incitations très f