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s, rites et liturgies, sacré, mythologie, etc. 2.
Théologie
. 3. Métaphysique, philosophies, épistémologie. 4. Éthique, morales r
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rchie. La thèse directrice étant la suivante : La
théologie
de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’applic
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pplication est une politique du fédéralisme. 1.
Théologie
de l’œcuménisme Écartons d’abord le malentendu que pourrait suggér
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érer ce titre : je ne vais pas parler ici d’une «
théologie
œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrin
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e « théologie œcuménique », synthèse utopique des
théologies
existantes, ou doctrine nouvelle qui risquerait de n’être compatible
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i risquerait de n’être compatible avec aucune des
théologies
existantes. Ce qui m’intéresse, c’est la doctrine concernant l’Église
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à mon entreprise. Le principal est celui-ci : la
théologie
de l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chréti
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de l’union dans la distinction des personnes ? La
théologie
de l’œcuménisme considère que la diversité des vocations divines n’es
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e d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : La
théologie
de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes d
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du tout et les droits des parties. De même que la
théologie
de l’œcuménisme prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part
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r maintenant les implications politiques de cette
théologie
et de cette philosophie. 3. Politique du fédéralisme Nous en av
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cessairement tout effort fédératif sérieux. 2. La
théologie
de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, s
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l’on se propose de combattre !). D’autre part, la
théologie
de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules base
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antinomie individu isolé-masse militarisée. 5. La
théologie
de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du féd