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re chose que suivre la science occidentale, et la
théologie
même relève autant des traditions philosophiques et théologiques de l
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e s’est produit et ne saurait se produire dans la
théologie
et la philosophie, ni dans les lettres. Mais cette disparité n’a rien
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mple précis illustrera ce point. Supposons que la
théologie
ait gardé ses pouvoirs régulateurs de l’ensemble de nos croyances : u
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davantage si sa démarche est conforme ou non à la
théologie
, et fort probablement ne s’en soucierait pas. Ainsi chacun va de son
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rofane, entre la cohérence globale définie par la
théologie
et les recherches particulières à l’aventure, advienne que pourra, et
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age commun aux sciences exactes, aux arts et à la
théologie
, ainsi Descartes dès 1625, puis Leibniz et son Ars Combinatoria. Mais
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’Occident ? La réponse doit être cherchée dans la
théologie
du xxe siècle qui, sur les traces de Karl Barth, a montré que le chr