1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
1 dans ses plus minutieux détails. Au Moyen Âge, la théologie . Dans toutes ces civilisations, l’action obéissait spontanément aux m
2 aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la théologie sont méprisés ou ignorés, maintenant que tout, dans le monde, échappe
3 , mais pour certains, c’est le Saint-Esprit de la théologie , pour d’autres, c’est la raison humaine ou l’ensemble de la culture.
4 ots ? En d’autres temps, c’étaient l’Église et la théologie qui s’en chargeaient. Puis ce furent les écrivains. Mais que peuvent-
5 es pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
6 t quelques variantes personnelles, au gré de leur théologie ou de leur conception du style. Or justement, la valeur liturgique d’
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
7 celle du xixe siècle. Alors, dit-on, c’était la théologie qui faisait question, la morale était évidente. Le principe même de l
8 n de l’ordre social. Aujourd’hui, poursuit-on, la théologie a été solidement reconstruite sur les bases de la dogmatique des Père
9 orale chrétienne ? Osera-t-on encore la prêcher ? Théologie solide, morale problématique ; est-ce bien la réalité de notre temps 
10 n nomme aux États-Unis et en Grande-Bretagne la «  théologie de la mort de Dieu » (ses échos remplissent depuis un an la presse in
11 en attendant de se répandre dans nos pays), cette théologie -là bouleverse le fondement commun de toutes nos orthodoxies, qu’elles