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remarquer « que l’on n’est pas ici pour parler de
théologie
et de subtile philosophie ». André Philip, défenseur de Martin, lui r
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sans violence : « C’est faux ! Vous faites de la
théologie
, et vous ne faites même que cela ; c’est une tout autre théologie que
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us ne faites même que cela ; c’est une tout autre
théologie
que la chrétienne, simplement. C’est la théologie païenne par excelle
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théologie que la chrétienne, simplement. C’est la
théologie
païenne par excellence, celle de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance a
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aient à César. Entraînée dans cette politique, la
théologie
se fait servante de la chose publique. Et que voit-on dès lors ? Prés
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conversion. 1. L’Église « corps du Christ », en
théologie
; et en réalité : corps officiellement constitué dans la Troisième Ré
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ches de possibilité. On a souvent reproché à la «
théologie
dialectique » de Karl Barth et de ses amis de justifier une sorte de
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e Gogarten, de Brunner et de de Quervain sur la «
théologie
politique » fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus
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trouvera guère d’écho à l’effort critique de la «
théologie
politique » allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nu
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nous a retraduit quelques passages — où toute une
théologie
s’exprime entièrement par des choses (s’agît-il du profond mystère de
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, et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la
théologie
, qui affirme à nouveau l’Église en tant que société de ceux qui croie
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onséquences qu’il entraîne. (De même on fausse la
théologie
en partant du « problème de Dieu » — exactement comme si l’on ne croy
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bien plutôt, s’il faut une étiquette, un livre de
théologie
morale, et c’est sur ce terrain que je puis le défendre. Malgré toute