1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
1 ralisme, traître à ses origines, et vidé de toute théologie efficace. Peut-être vaut-il la peine de préciser ici et de pousser da
2 fondes : Milton. Mais le moralisme détendu que la théologie libérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censur
3 . Et c’est en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie . Car il est certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité
4 alisme se développer précisément à l’époque où la théologie de Calvin, pessimiste quant à l’homme, mais confiante dans la grâce,
5 l est permis d’attendre de la violence même d’une théologie du Dieu Tout-Puissant qu’elle suscite de nouveaux psaumes36, qu’elle
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
6 t les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie , scientifique, bien entendu, et dont les deux disciplines principales
7 Nous trouverons les meilleurs exemples de cette théologie dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
8 ist de l’Évangile. Il avait terminé les études de théologie , mais il ne fut jamais pasteur. Il lui arriva pourtant de prêcher, et
9 ers, procède de sa philosophie de l’existence. La théologie barthienne se réclame de sa thèse principale : « Il y a une différenc
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
10 s ou sociologiques sont comme une inversion de la théologie , sont une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et
11 ont comme une inversion de la théologie, sont une théologie de la dégradation. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel59 trouve i
12 Hegel domine le marxisme et les fascismes, et la théologie des sociologues, des historiens, des clercs bourgeois. Comment lui éc
5 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
13 n de M. Bolle. ⁂ Le sens historique n’est qu’une théologie masquée : “nous atteindrons un jour des buts magnifiques”. Un but fin
14 ients de ce paganisme nouveau ont adopté sa vraie théologie  : la dialectique historique de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi
15 moral » qui empêche, en particulier, une certaine théologie libérale de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau T
6 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
16 de l’Église dans les trois Facultés françaises de théologie protestante. Il n’en reste pas moins que l’ignorance ou la méconnaiss
7 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
17 re hiérarchie. Notre thèse étant la suivante : La théologie de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’applic
18 pplication est une politique du fédéralisme. 1. Théologie de l’œcuménisme Écartons d’abord le malentendu que pourrait suggér
19 rer ce titre : nous ne voulons pas parler d’une «  théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrin
20 e « théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrine nouvelle qui risquerait de n’être compatible
21 i risquerait de n’être compatible avec aucune des théologies existantes. Ce qui nous intéresse ici, c’est la doctrine concernant l
22 notre entreprise. Le principal est celui-ci : la théologie de l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’union des chréti
23 i ce que nous devons affirmer dès maintenant : la théologie de l’œcuménisme considère que la diversité des vocations divines n’es
24 e d’ailleurs, doit être au moins rappelé ici : la théologie de l’œcuménisme ne vise pas à démanteler les orthodoxies existantes,
25 du tout et les droits des parties. De même que la théologie de l’œcuménisme prévient d’une part l’orthodoxie fermée, d’autre part
26 r maintenant les implications politiques de cette théologie et de cette philosophie. 3. Politique du fédéralisme Nous en av
27 cessairement tout effort fédératif sérieux. 2. La théologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, s
28 l’on se propose de combattre !) D’autre part, la théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules base
29 antinomie individu isolé-masse militarisée. 5. La théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du féd
30 ns idéologie. Mais point d’idéologie valable sans théologie . Et point de théologie efficace sans le soutien d’une catholicité rée
31 t d’idéologie valable sans théologie. Et point de théologie efficace sans le soutien d’une catholicité réelle, d’une communauté h