1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 cielles appréciations portées ici ou là contre la théologie dialectique incriminée de pessimisme romantique, de recours abusif au
2 it que ce brave homme s’effare, et vitupère une «  théologie  » pareillement inconfortable, dont, au surplus, il n’est plus possibl
3 avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opération réelle que
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
4 e reconstituer l’« appareil » dogmatique dont une théologie ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement p
5 » dogmatique dont une théologie ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement privé tant de chrétiens de bo
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
6 dessus le temps, avec ce Jésus-homme si cher à la théologie moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher aux historiens, aux psycho
7 ssible, dès que la vigilance critique d’une sobre théologie se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois pour toutes d’une tel
8 nsacre à ce problème. Mais faut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour résoudre concrètement nos problèmes. Elle a pour bu
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
9 l’ignorez pas — c’est cet illustre professeur de théologie dogmatique dont l’esprit de répartie et la finesse à distinguer chez
10 égarée vers la politique, au dessert, revint à la théologie avec les premières tasses de café. Un étudiant feuilletait un gros ou
11 qui exigez cette expérience unique, au nom d’une théologie … Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans n
12 it bien su les reconnaître. C’était conforme à sa théologie , on pouvait se risquer à discuter avec cet homme de nuit, quand il ne
13 d nous condamnons Nicodème au nom d’une meilleure théologie , faisons-nous autre chose que lui ? Sommes-nous contemporains du Chri
5 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
14 me à la probité historique et plus fécond pour la théologie de mettre en regard du catholicisme romain le protestantisme tout ent
15 l’effort perpétuel et d’ailleurs émouvant de leur théologie est de combler tant bien que mal tous les abîmes : ceux qui séparent
16 ort écouté, dont les travaux marient avec aisance théologie et humanisme, il me répondit simplement : « Bossuet ne saurait être t