1
cielles appréciations portées ici ou là contre la
théologie
dialectique incriminée de pessimisme romantique, de recours abusif au
2
it que ce brave homme s’effare, et vitupère une «
théologie
» pareillement inconfortable, dont, au surplus, il n’est plus possibl
3
avec l’acte, le risque et le choix dont parle la
théologie
dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opération réelle que
4
e reconstituer l’« appareil » dogmatique dont une
théologie
ou une absence de théologie également orgueilleuses ont cruellement p
5
» dogmatique dont une théologie ou une absence de
théologie
également orgueilleuses ont cruellement privé tant de chrétiens de bo
6
dessus le temps, avec ce Jésus-homme si cher à la
théologie
moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher aux historiens, aux psycho
7
ssible, dès que la vigilance critique d’une sobre
théologie
se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois pour toutes d’une tel
8
nsacre à ce problème. Mais faut-il le redire ? La
théologie
n’est pas là pour résoudre concrètement nos problèmes. Elle a pour bu
9
l’ignorez pas — c’est cet illustre professeur de
théologie
dogmatique dont l’esprit de répartie et la finesse à distinguer chez
10
égarée vers la politique, au dessert, revint à la
théologie
avec les premières tasses de café. Un étudiant feuilletait un gros ou
11
qui exigez cette expérience unique, au nom d’une
théologie
… Je ne vous reproche pas d’être fous, je vous reproche de dire sans n
12
it bien su les reconnaître. C’était conforme à sa
théologie
, on pouvait se risquer à discuter avec cet homme de nuit, quand il ne
13
d nous condamnons Nicodème au nom d’une meilleure
théologie
, faisons-nous autre chose que lui ? Sommes-nous contemporains du Chri
14
me à la probité historique et plus fécond pour la
théologie
de mettre en regard du catholicisme romain le protestantisme tout ent
15
l’effort perpétuel et d’ailleurs émouvant de leur
théologie
est de combler tant bien que mal tous les abîmes : ceux qui séparent
16
ort écouté, dont les travaux marient avec aisance
théologie
et humanisme, il me répondit simplement : « Bossuet ne saurait être t