1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 is il se résout à passer simplement son examen de théologie , par obéissance aux désirs de son père. Et surtout, lui aussi se sait
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
2 ine approche du réel. Formées et formulées par la théologie d’où procèdent nos philosophies, elles ont déterminé dans une large m
3 t vrais, contradictoires, mais essentiels) que la théologie avait élaboré en partant de la Révélation. Elles procèdent d’une comm
4 t saint Paul et l’Évangile. De la science à la théologie La question se ramène à savoir qui décide, et qui détient la preuv
5 yen Âge le sens général de la vie dépendait de la théologie , dont, depuis la Renaissance, la science et la raison ont une fois po
6 ore être tributaire. Est-ce bien sa faute ? Et la théologie du temps — je pense surtout à celle des pays protestants, les plus fé
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
7 entiel. Le polythéisme est défendable : c’est une théologie de la coexistence. Le monothéisme est vrai. Mais la pluralité des mon
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
8 iente vers le mystère crucial. S’agirait-il d’une théologie  ? Kassner veut voir. D’une gnose, alors ? On pourrait le penser. De p
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
9 e théorique. On le comprendra par le détour de la théologie de Kierkegaard. Dans ses ouvrages religieux, il revient sans cesse su