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queg, nous avons décidé de prendre au sérieux les
théories
sur la « mort de l’homme » lancées dans les années 1960 par les struc
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ment Lévi-Strauss, Foucault et Lacan. Quoique ces
théories
puissent passer, — on l’a dit — pour un peu frivoles, ou pour des exe
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mort de l’homme. Il s’agissait, on le voit, d’une
théorie
plus littéraire que philosophique ou religieuse, mais non moins révél
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, en opposant à l’attitude mentale qu’implique la
théorie
de la « mort de l’homme », le projet d’une Europe qui ne sera pas fai
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rouver dans ce corps même une garantie contre les
théories
pernicieuses et subversives de l’ordre social dans un sens ou dans un
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l’éveil, et seront toujours prêts à résister aux
théories
dangereuses des esprits qui cherchent à se singulariser, et qui, de p
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c le mouvement fasciste. Nous avons développé des
théories
sur l’actualité, sur l’évolution du monde, de l’Europe en particulier
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is, à cette époque. Puis nous avons développé des
théories
politiques constructives, curieusement sur la base d’un fédéralisme,
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olument liés. Je n’en ai jamais démordu, de cette
théorie
-là qui est fondamentale pour tous mes livres : l’homme est libre dans
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ier acte d’engagement européen. J’avais conçu une
théorie
de l’engagement de l’écrivain, mais là je passais de la théorie à la
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ngagement de l’écrivain, mais là je passais de la
théorie
à la pratique. Si bien que je peux faire remonter mon engagement euro
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doctrine, était de l’engagement, et non pas de la
théorie
pure. J’ai tout de suite commencé à travailler pour créer une cellule