1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 s de rhétorique sans conséquences. Soit. Mais les théories que les troubadours développaient avec une si grave application, ne s
2 on l’ouvrage de Wechssler, qui soutient que les «  théories amoureuses du Moyen Âge ne sont qu’un reflet de ses idées religieuses
3 de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes conservés et traduits
4 été avant tout un savant ; qu’il ait soutenu une théorie de la libido ; et qu’il ait pris une attitude déterministe : or le su
5 et l’ont vénéré ; nous savons que sans lui, leurs théories et leur lyrisme eussent été tout différents ; nous savons que ces poè
6 surcroît d’informations sur la nature exacte des théories de Freud, loin de fournir aux savants futurs les apaisements qu’ils s
2 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
7 ? Rien ne permet de l’affirmer historiquement. En théorie cependant l’objection reste possible, et même inévitable. On connaît
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
8 remier seul trouve grâce aux yeux de l’auteur. La théorie de la cristallisation doit l’expliquer. « Ce que j’appelle cristallis
9 es et éblouissants ». Tomber amoureux, dans cette théorie , c’est attribuer à une femme des perfections qu’elle ne possède nulle
10 ga qui a souligné le premier154 que cette célèbre théorie revient à faire de l’amour passionné une simple erreur. « Non point q
11 il supprime simplement tout problème, grâce à sa théorie de la cristallisation, donc de l’erreur. Ce qui explique la passion,
4 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
12 n’est pas nécessaire par exemple de recourir aux théories de Freud pour constater que l’instinct de guerre et l’érotisme sont f
13 usewitz, lequel n’a cessé d’affirmer que toute la théorie prussienne de la guerre devait se fonder sur l’expérience des campagn
14 auteur du Mutterrecht : le Matriarcat) expose une théorie analogue à propos de la tragédie grecque, considérée comme l’Auseinan