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sens moderne. Comment l’a-t-elle créée ? Par les
théories
tirées de Rousseau, moyennant le malentendu fondamental que je vais i
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plication que la Révolution française a faite des
théories
de Rousseau, ne peut être effectif que dans une petite dimension. Le
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e romande, du Val d’Aoste. Mais au nom de la même
théorie
, il faudrait que la France accepte de se diminuer des régions où on p
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début du xxe siècle, tout est prêt pour que les
théories
de Hegel puissent se manifester, pour que l’Allemagne puisse partir e
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aités de banlieue ont été inspirés par toutes les
théories
nationalitaires romantiques du xixe siècle. En redistribuant tous ce
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coup, sa définition et sa prise de conscience, sa
théorie
en tout cas. La chose, le fédéralisme, a existé, a fonctionné plus ou
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ous poursuivons en fait, ou que nous alléguons en
théorie
. C’est ce que j’appelle le grand dilemme d’aujourd’hui, le grand dile
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nt éliminé ? qu’il faut y renoncer ? au profit de
théories
des partis de gauche, mettons, et au détriment des capitalistes ? Eh
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s ou politiques de base. Comme si, en tout cas en
théorie
, idéalement, la personne était l’absolu, la société n’étant que son i
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on 4 mars 1977 Le trait le plus frappant de la
théorie
d’Althusius, c’est que, pour lui, le citoyen ne l’est pas en tant qu’
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u Moyen Âge jusqu’à saint Thomas, qui ont fait la
théorie
de la personne humaine — c’est de là qu’on répète encore souvent aujo
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at-nation. Voilà le principe fondamental de toute
théorie
du fédéralisme. Il s’ensuit que le problème politique revient à imagi
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se demander si Rousseau a voulu qu’on tire de sa
théorie
la pratique qu’en ont tirée les jacobins. Est-ce qu’on peut considére
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er que la première condition d’application de ses
théories
, c’est la petitesse d’un pays. 3. Idéologie et religion 8 novem
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France, Espagne, Grande-Bretagne), il fallait une
théorie
, puisqu’on voulait imposer l’unification de réalités diverses par nat
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cette combinaison : Charles Maurras et toutes ses
théories
politiques qui demandent un fédéralisme interne et qui s’opposent ave
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re nouveau, dès 1932, nous avions mis au point la
théorie
suivante : une révolution est sanglante dans la mesure où elle est ma