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s tableaux de chevalet, des romans, des pièces de
théâtre
, on donne des concerts. Eh bien ! tout cela n’existait pas dans les a
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y avait à Paris, autour de 1890, une quinzaine de
théâtres
de nus qui offraient des spectacles beaucoup plus provocants que celu
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se, j’écoutais Honegger dirigeant son Nocturne au
théâtre
de la Fenice. J’éprouvais une fois de plus que sa musique me touchait
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portant, le Solitaire par excellence ! Revenir au
théâtre
grec, avec son chœur ? Ce serait la solution formelle ; encore faudra
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canton qui patronnera l’œuvre : une compagnie de
théâtre
d’amateurs et deux petits chœurs à Neuchâtel, un grand chœur et une f
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e avec Paul Martin s’est produite sur la scène du
Théâtre
de Lausanne, envahie par les bellettriens : bras dessus, bras dessous
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éralement l’église, l’hôtel de ville, l’école, le
théâtre
ou quelque salle publique. Et les tensions bi- ou multilatérales entr